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Affaire Vincent LAMBERT : le Dr Vincent SANCHEZ du CHU de REIMS déclenche l'arrêt des soins

Capture d’écran d'une image dune vidéo avec Vincent LAMBERT et sa mère tourné en 2015 c80d4Après l'email envoyé la semaine dernière par le Dr SANCHEZ annonçant la fin "l'arrêt des traitements" et de "la sédation profonde et continue" a commencé cette procédure depuis ce matin comme il l'avait indiqué. Les parents qui avaient appelé ce dimanche avec l'association "Je soutiens Vincent" réunissant une centaine de personnes. Après une visite ce matin à son fils, Vivianne, a affirmé parlant des médecin « C'est une honte, un scandale absolu, ce sont c'est des monstres ! des monstres ! des nazis, il mérite...». Leurs avocats qui annonçait faire avoir engagé trois recours notamment devant la cour d'appel, et une procédure d'urgence devant la cour européenne des droits de l'homme, qui annonce le rejet de la procédure. Une affaire qui malheureusement prend désormais une tournure politique.

Après neuf jour d’arrêt des traitement Vincent LAMBERT est décédé ce matin à 8h24 au CHU de Reims

Entrée du chu Sébastopol de Reims ou ce trouve Vincent LAMBERT décédé ce matin a 8h24 70dddVincent LAMBERT sera donc décédé après une bataille judiciaire et familiale qui aura durée plus de dix ans. L’homme âgé de 43 ans après un accident de voiture en 2008 et depuis cette date dans un état « végétatif », est décédé entourer pour la première par sa famille a 8h24 ce matin, neuf jours après l’arrêt des traitement mise en œuvre par le Dr. Vincent SANCHEZ du CHU de Reims. C’est une bataille familiale et d’un long feuilleton juridique, médiatique et politique, avec en arrière-plan permanent, la question de la légalisation de l’euthanasie. Une question pour lequel les Français avait répondu dans un sondage IFOP de décembre 2017 selon lequel 89 % des Français se déclarent favorable à l’euthanasie.

Inégaux devant la mort « Droit à mourir »: l'ultime injustice sociale

Couverture du Livre Inegaux devant la mort au Edition DunodAlors que notre société ne cesse de connaitre les contreverses de l'affaire Vincent LAMBERT et que le partlement étudie a nouveau la question. Le droit de mourir et comme le revendique le président de l'ADMD « dans la dignité », l'auteur Robert HOLCMAN revient sur le sujet en abordant ce que certains considéré comme un droit et d'autre comme un crime déguisé. Un auteur qui reste confiant l'avenir et a l'évolution de la société, précisant dans son introduction, que « La loi étant l'expression de la volonté générale, il y a fort à parier qu'elle finira inéluctablement par s'ajuster à l'opinion majoritaire s'il n'est pas démontré que le débat fondamental quant à l'euthanasie n'est pas de savoir si cette dernière doit être légalisée mais plutôt si elle est utile ».

Ma mort m’appartient ! Entretien avec Jean-Luc ROMERO par Claire BAUCHART

Ma Mort m'appartient de Jean Luc ROMEROA l'heure du débat à l'Assemblée nationale et au Sénat, et des dix ans de la loi LEONETTI (22 avril 2015), ce livre retrace une volonté et le combat d'un homme pour obtenir un droit celui de mourir dans la dignité. Un entretien avec un homme, Jean-Luc ROMERO avec une journaliste Claire BAUCHART ou le président de l'ADMD, parle, sans tabous, de son combat personnel et collectif pour le droit de mourir dans la dignité et légalisation de l'euthanasie et du suicide assisté. Un livre que présente demain 14 avril 2015 à 18 heures 30 à la librairie l'Arbre à lettres.

Monsieur le président, laissez-nous mourir dans la dignité ! Le Combat de Jean-Luc ROMERO

Monsieur le president, laissez nous mourir dans la digniteHomme politique de terrain, engagé sur de nombreuses questions de société comme le SIDA, l’Euthansie et pour son combat de plusieurs années. Un livre dans lequel Jean-Luc ROMERO revient et motive et explique les raisons de choix de vie qu’il espère pour notre société… Un livre revendicatif en faveur d’une loi sur l’euthanasie…Bien que 9 Français sur 10 y soient favorables, le combat pour le droit de mourir dans la dignité est long, difficile, parsemé d’embûches et de drames. Il faut le mener avec ténacité et sans découragement. C’est le sens de l’engagement de Jean-Luc Romero, président de l'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité. Inlassablement, il se bat pour que chacun puisse avoir le droit de décider des conditions de sa propre mort : soins palliatifs, euthanasie ou suicide assisté.