À l’ occasion de la Journée nationale des Aidants qui a lieu demain, Adhap Services dévoile les résultats d’une enquête menée en partenariat avec l’IFOP sur « le rôle des aidants familiaux vu par les Français ».Zoom sur les grands enseignements de ce sondage inédit mis en place au cours du mois de septembre 2017 ! Un résultat qui selon nos sources pourrait avoir été entendue par la ministre de la solidarité et devrait annoncé notamment l'importance de la reconnaissance dans société des aidants familiaux. Une reconnaissance depuis longtemps par les associations et aidants mais pour lequel celle-ci tarde a venir...
Le 6 octobre prochain, avec la participation de nombreuses associations telle que le Collectif Je t’aide. Le collectif qui regroupe 00 associations, appel à cette occasion e appelle tous les acteurs, entreprises, collectivités, universités, acteurs du médico-social, professionnels de santé, à se réunir et à s’engager. Une journée qui aura pour objectif d’attirer l’attention des pouvoirs pour un engagement plus concret notamment au lendemain de la reforme des retraites. Une journée auquel plusieurs centaines d’évènement seront organisés partout en France.
Selon une étude publiée aujourd'hui par la DREES et dirigée par Mélanie BÉRARDIER, à la fin 2011, 502 000 personnes de 60 ans ou plus vivant en établissement d'hébergement permanent perçoivent l'allocation personnalisée d'autonomie (APA) ou l'aide sociale à l'hébergement (ASH) en France métropolitaine. Des bénéficiaires de l'APA en établissement ou de l'ASH dont les femmes représentent 73 %. En 2011, les dépenses brutes des départements pour ces deux aides s'élèvent à 4,2 milliards d'euros, soit 13 % de l'ensemble des dépenses brutes d'aide sociale des départements et 0,2 % du PIB.
Âgé en janvier prochain de 58, Alain COCQ tres actif dans le secteur associatif des personnes en situation de handicap est atteint depuis plusieurs 'un handicap lourd depuis longtemps entrainant de grandes souffrances physiques et aussi psychologiques. Des souffrances que les plus puissants n’arrive plus a traité. Après un refus de l’Élysée Emmanuel MACRON ayant ne pas situé au-dessus des lois, « je ne suis pas en mesure d'accéder à votre demande », Après Ce dernier a été finalement hospitalisé. Le cas d'Alain COCQ relance la controverse sur la fin de vie, à l'image de l'affaire Vincent Lambert, un infirmier en état végétatif décédé en juillet 2019 après une sédation profonde voulue par des médecins et son épouse mais à laquelle ses parents continuent à s'opposer devant la justice.
Aujourd’hui l’épouse du chef de l’État, Brigitte MACRON, officiellement président de la Fondation Hôpitaux de Paris Hôpitaux de France depuis le 12 juin dernier a procédé à sa première inauguration officielle. Brigitte MACRON, en présence de la Secrétaire d’État aux personnes handicapées Sophie CLUZEL a inauguré la Maison de Répit de Tassin-la-Demi-Lune à 10 minutes du centre de Lyon, au coté du Maire et ancien ministre de l’intérieur Gérard COLLOMB. Soutenu par la Métropole et l’Agence régionale de santé, ce dispositif est porté par la Fondation France Répit en lien avec la fondation OVE.
La santé des 11 millions d’aidants est un sujet qu’il est urgent d’aborder : le collectif Je t’Aide(1) lance ce plaidoyer pour interpeller les pouvoirs publics sur l’état de santé fragilisé des aidants, leur place dans le système de santé global et le manque de reconnaissance des aidants auprès des professionnels de santé. Un plaidoyer qui vise à rendre compte de l’impact de l’aide sur la santé, à mettre en place des stratégies de prévention et à développer une relation plus étroite avec les professionnels de santé. Vieillissement de la population, besoin d’accompagnement des personnes en situation de handicap, augmentation des maladies chroniques, développement de la chirurgie ambulatoire et de l’hospitalisation à domicile, … Tous ces indicateurs impliquent une place de plus en plus prépondérante pour les aidants et soulignent l’urgence de la prise en compte de leur rôle.
Le secteur de la santé, des hôpitaux aux EHPAD, traverse aujourd'hui une crise majeure qui a commencé il y a déjà presque 20 ans. Cette crise trouve ses racines dans sa lointaine histoire, des Hôtel-Dieu aux congrégations qui géraient ces lieux avant l'émergence de la professionnalisation du secteur. Cette professionnalisation a progressivement entraîné tous les acteurs dans une exigence de qualité, tout à fait légitime, initiée et voulue tant par l'État, les professionnels, les usagers que les familles.
Un guide pratique et dont 7ème édition parfaitement à jour pourra vous permettre de trouver bon nombre de réponse à toutes vos questions sur le sujet de la dépendance. L’auteur Anna DUBREUIL et d’autres professionnelles répondent à bon nombre question, pour lequel il parfois difficile d’avoir des réponses vu la complexité administrative. Parmi celle-ci, comment embaucher une aide à domicile ? Comment aménager son logement et bénéficier de la téléassistance ? Comment choisir l'établissement d'accueil le mieux adapté ? Quel est le coût d'un EHPAD ? Quelles sont les aides financières ? Quels congés pour aider un proche dépendant ? Quelle protection juridique pour une personne fragilisée ?
Comme chaque année, l’ODAS décortique et analyse l’évolution des dépenses sociales et médico-sociales des départements avec le concours d’un échantillon représentatif de 49 départements. Après une année 2021 atypique l’année 2022 témoigne de tendances très contrastées. Car au-delà de la hausse de 2,7 % -qui correspond à la fois à la dépense réelle des collectivités et à leur "charge nette", une fois défalquées les dotations de l'Etat-, de nombreux postes de dépenses ont connu une accélération plus marquée. Des dépenses d’un niveau équivalent voire supérieur à celui de l’inflation dans trois domaines, selon le dernier rapport l’ODAS.
Il y a quatorze ans aujourd’hui le Parlement voté la reforme pour l’égalité des droits et des chances, près de 14 ans après, le bilan reste pour le moins tres mitigé avec trois points noirs de la prise en charge du handicap, des revenus et de l’accessibilité. A laquelle s’ajoute celle de l’éducation et de l’emploi et taux de chômage de 22.5 %. Une loi dont les associations représentatives des personnes handicapées et les associations gestionnaires sont loin d’être satisfaite alertant le gouvernement sur des droits fondamentaux toujours pas respectés. Et le prétendu mea-culpa du Président MACRON lors de son débat devant 1000 jeunes le 7 février dernier, qui devait « de faire du handicap la priorité de son quinquennat, sont loin d’avoir convaincu. 2019 qui sera marqué par deux événements la conférence nationale du handicap et la remise du rapport de l’ONU en mars prochain.
Alors que l’Assemblée nationale se penche actuellement sur le syndrome d'épuisement professionnel dans le cadre d’une mission d'information. la DREES, vient de publier un rapport sur les conditions de travail des professionnels soignant en EHPAD pour lequel elle a été contrainte de prendre aussi celle de la diversité des situations. Qu’il s’agisse de celle des métiers, que celle de la diversité des statuts des établissements, mais aussi diversité des organisations et des modes de fonctionnement. Une étude qui au-delà de ces différences, a voulu mettre en lumière la grande unité dans les témoignages des professionnels et de voir ainsi se dessiner les contours d’une identité professionnelle forte.
Lors de son intervention sur la Chaîne BFM.TV qui aura été pour le moins « chaude » ou il aura été bousculé dans ces retranchements par les deux journalistes Edwy PLENEL et Jean-Jacques BOURDIN, pour un premier bilan un an après son arrivée. Le Président de la République Emmanuel MACRON a jugé la piste d’une deuxième journée travaillée non payée ou « journée de solidarité active » comme une « piste intéressante ». Une deuxième journée qui elle contrairement à la première qui finance aussi le handicap, celle-ci ne concernerait uniquement que les personnes âgées.
Ça y est, les lauréats pour l'édition 2019 du concours sont en lice pour la finale et n'attendent plus que vos votes, qui nous permettront de décerner le premier et le deuxième prix du public ! Une édition parrainée cette année par l’acteur Jérôme Bonaldi. Découvrez des maintenant les 20 inventions lauréates de cette année et votez pour vos préférées en vous rendant sur Hizy.org, rubrique "inventions Fab Life" ! Pour voter, il suffit de vous connecter à votre compte ou d'en créer un, puis de vous rendre sur la page des votes
En France, les personnes âgées handicapées sont confrontées à de nombreux défis et difficultés. Elles doivent faire face à la perte d'autonomie, à l'isolement social, à la précarité financière, à la discrimination et à la maltraitance. Selon l'Insee, en 2018, il y avait environ 1,2 million de personnes âgées de 60 ans ou plus qui déclaraient avoir un handicap ou une limitation d'activité. Parmi elles, 40 % vivaient seules et 20 % étaient pauvres. Des questions qui seront ici approfondies dans ce numéro de Vie sociale rédigé notamment avec la participation de Loic ANDRIEN, Jean-Yves BARREYRE, Hugo BERTILLOT, Kévin CHARRAS.
Permettre au plus grand nombre de rester en bonne santé et d'être autonome le plus longtemps possible. Tel est l'enjeu de santé publique auquel le projet INSPIRE se propose de répondre. Dès aujourd'hui, le CHU de Toulouse et ses partenaires, l'Université Toulouse III, l'Inserm et le CNRS étudient les mécanismes du vieillissement à partir de cohortes humaines et animales uniques au monde, pour permettre à tous de vivre mieux demain. Cette étude intervient au moment où la Région Occitanie / Pyrénées Méditerranée mobilise une enveloppe de 12,8 M€ dont 6,5 M€ validés lors de sa Commission permanente du 19 juillet. Dès l'automne 2019, les équipes impliquées vont s'appuyer sur la cohorte humaine de recherche INSPIRE, comptant 1 000 sujets volontaires : une première au niveau mondial en termes d'étude sur le vieillissement.
La journée de solidarité a été mise en place en 2004 pour financer la prise en charge des personnes âgées ou handicapées, après la canicule de 2003. Une journée qui est en réalité un prélèvement correspondant à 0,3% de la masse salariale annuelle, qui devrait générer plus de 2,878 Mds € de recettes en 2019, a indiqué la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA). Des recettes couvrent entre 4 et 5 % de ces dépenses et constituent 11 % des recettes du budget du CNSA. Entre 2004 et 2019, la CSA a rapporté 34,9 Mds€ au bénéfice des personnes âgées et des personnes handicapées auquel il faut ajouté depuis sa création en 2013 près 4,9 Mds € grâce à la contribution additionnelle de solidarité pour l’autonomie (CASA).
Mise en place après la canicule de 2003 qui avait fait 15 000 morts, cette journée de solidarité pour les salariés de travail non rémunéré et destinées à financer la prise en charge des personnes âgées et handicapées. Une journée qui n’a jamais véritablement fait l’unanimité tant à gauche qu’à droite, mais auquel les Français semblent avoir accepté. Modifié à plusieurs reprises notamment, en 2008, qui permet aux entreprises de fixer elle-même cette journée librement. Une journée qui, en 2017, avait rapporté selon CNSA près 2.37Mds€ en 2018, la somme devrait avoisiner 2,42Mds€. La mise en place d’une deuxième journée restant « une piste possible » pour Emmanuel MACRON.
À l'occasion de la journée internationale des personnes handicapées, l'APPAS (Association Pour la Promotion de l'Accompagnement Sexuel) interpelle ce lundi 03 décembre les députés avec pour la première fois une campagne en dessous de la ceinture. « Chez la personne en situation de handicap, il y a des sentiments, des envies et des désirs que la société ne veut pas voir. Il y a surtout une réalité que nous souhaitons mettre en lumière. Et un tabou que nous voulons faire tomber » explique Marcel NUSS, Président et fondateur de l'APPAS. Un sentiment loin d’être partagé par tous comme l’association Femme pour le Dire Femme Pour Agir (FDFA), qui parle de ce type de relation comme de la prostitution déguisée.
Annoncé avant l’été dans le cadre de son plan handicap, ce nouvel espace aura pour objectif selon l’Agence régionale de santé Île-de-France, de promouvoir des initiatives innovantes pour favoriser l’autonomie et l’inclusion des personnes en situation de handicap conduites en France ou à l'étranger. Reste à savoir lequel exactement. Son animation sera assurée par Alain CORDIER, conseiller spécial du directeur général de l’ARS Île-de-France et Marc BOURQUIN, directeur de l’autonomie.
La commission des Affaires sociales à examiner ce 9 mai 2018, la proposition de loi de Philippe BERTA du groupe Mouvement Démocrate et apparentés, présenté le 17 mai en séance publique, relative à la prestation de compensation du handicap (PCH). Un texte, avec deux objectifs celui de la suppression de la barrière d’âge de 75 ans, mais aussi de réduire le reste à charge des bénéficiaires. Un texte voté adopté à l’unanimité, preuve selon le député du Gard, de l’urgence qu’il y a à proposer des dispositifs d’amélioration de cette prestation ». À se demander pourquoi le combat pour la suppression de la prise en compte des revenus du conjoint pour l’A.A.H. a lui était rejeté par l’Assemblée nationale.