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Message d'alerte

Médicaments

  • 53 % des français ne sait toujours pas que l’hypertension artérielle peut être cause d’un décès ou d’un handicap !

    Prise de la tension artérielle chez un patient da322A la veille de la journée mondiale de l'hypertension artérielle (HTA) qui aura lieu le 17 mai prochain. A cette occasion IPSO vient de publier pour le compte de la société de biotechnologie, Quantum Genomics un sondage intitulé « Les Français et l'hypertension artérielle(1) ». L’hypertension qui représente l’une des maladies chronique les plus fréquente en France concernerait 10 à 15 % de la population française et serait responsable de 8 millions de morts par an dans le monde et près de 100 millions de jours d'invalidité. Des personnes hypertendues qui devrait atteindre d'ici à 2025 1,5 milliards de personnes dans le monde. Un sondage qui dresse un bilan alarmant sur le degré de connaissance des français vis-à-vis de l'HTA.

  • Affaire Dépakine : Le parquet de Paris ouvre une enquête sur l'affaire des anti-épileptiques

    Depakine Chrono 500Le parquet de Paris a ouvert une enquête sur les conditions d'autorisation et de commercialisation des anti-épileptiques Dépakine et leurs risques quand ils sont administrés à des femmes enceintes, a-t-on appris lundi de source judiciaire, confirmant une information du Figaro. Cette enquête a été ouverte fin septembre pour blessures involontaires et tromperie aggravée, et le service de gendarmerie spécialisé dans les atteintes à l'environnement et à la santé publique (Oclaesp) va être saisi, a-t-on précisé à l'AFP.

  • Des millions de personnes « laissées pour compte dans la douleur » et en manque de soins médicaux selon l’OMS

    Une personnes sous perfusion dcf1cL’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a publié un nouveau rapport Intitulé « Left behind in pain » (Laissés pour compte dans la douleur), sur l’accès à la morphine à des fins médicales qui expose les inégalités de la répartition mondiale de la morphine en tant que médicament vital contre la douleur, sans que cela corresponde à des besoins médicaux. Un rapport qui met en évidence une nouvelle fois, les problèmes d’accès à ce médicament essentiel et propose des mesures en vue d’y accéder plus facilement en toute sécurité grâce à une politique équilibrée.

     

  • Enfant handicapé par la Dépakine l’état pourrait assumer l’indemnisation dans un premier temps ?

    Agnès BUZYN est la Ministre des Solidarités et de la Santé invitée de Marc FAUVELLE le 11 juillet 2017Alors que les boites de Dépakine affichent un sigle d’avertissement sur les dangers qu’ils comportent pour les femmes enceinte. Un excès de zèle dénoncé par le Comité National de l’Épilepsie. La ministre de la Santé Agnès BUZYN interrogé sur France Inter au sujet de la Dépakine de Sanofi et d'autres médicaments responsables depuis 1967, a reconnu que l’heure était désormais à l’heure des négociations entre l'État et Sanofi Aventis.

  • L’ANSM autorise l’expérimentation du Cannabis a usage thérapeutique en France

    Deux flacons contenant du cannabis utilisé a usage thérapeutique c0bb1Demandé depuis longtemps par de nombreux patients et par des membres du corps médicale de plus en plus nombreux. L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) avait ouvert en 2018 une commission d’enquête. Un groupe d’expert qui avait pour mission d'évaluer la pertinence et la faisabilité de la mise à disposition du cannabis et qui a présenté ces conclusions le 28 juin dernier. l'ANSM qui a décidé ce 11 juillet de suivre les recommandations. L’agence et le ministère des solidarités et de la santé engagent dès à présent les travaux nécessaires à la mise en place de l’expérimentation.

  • L’ANSM interdit définitivement le valproate aux femmes enceintes et en âge de procréer

    Logo d'interdiction Dépakine Chrono 500 produit par les laboratoires SanofiA la suite d’une mesure de contre-indication entérinée par la Commission européenne en mars venu renforcer le dispositif de réduction des risques instaurés depuis 2015 en France. L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), annoncé son interdiction « pendant la grossesse et ne doit plus être prescrite aux femmes, adolescentes ou en âge de procréer, sauf exceptionnellement contre l’épilepsie ». Une victoire pour celle qui fut la lanceuse d’alerte et désormais la présidente de l’association l'APESAC Marine MARTIN. Une interdiction qui entrera en application fin juillet 2018.

  • L’APESAC dénonce le rejet d'indemnisation de la part de SANOFI au victime de la Dépakine

    2019.01.16.depakine chrono 500Si l’indemnisation des victimes de la Dépakine, votée par le parlement en novembre 2016, ne fait plus aucune doute, le laboratoire bien décidé à défendre ces actionnaires se refuse tout simplement de prendre sa part de responsabilité sur les premiers avis d'indemnisation envoyés par l'Office national d'indemnisation des accidents médicaux (ONIAM). Rejetant ainsi l’annonce faite par Agnès BUZYN Ministre de la Santé le 11 décembre dernier. Une situation prévisible selon l'APESAC mais jugée comme un « déni de sa responsabilité, ajoutant chaque jour le mépris à l’indécence », par sa présidente Marine MARTIN.

  • L’État Français et le Laboratoire Servier sur le banc des accusées celui scandale sanitaire face 2 684 parties civiles

    Près de 30 ans après l’affaire du sang contaminé qui avait vu plusieurs ministres jugés devant la cour une boite de médicament du médiator fabriqué par le laboratoire servier 6ee03de justice de la république et devant les tribunaux pour les médecins. Le procès qui s’ouvre aujourd’hui pour une durée de six mois, concerne le Médiator, un coupe-faim vendu comme un antidiabétique. Face aux 25 accusés, et plus 2600 parties parties civiles ainsi qui a dévoilé ce scandale sanitaire, la pneumologue du CHU de Brest, Irène FRACHON qui sera l’une des 100 témoins dans ce procès. Si bon nombre sont encore vivants les conséquences de la prise de ce médicament auront causé des dégâts considérables et provoqué la mort de 500 à 2100 personnes selon les études.

  • La BEI finance les recherches de l’entreprise espagnol Almirall sur nouveaux traitements des maladies de la peau

    Europe la bei finance les recherches dalmirall sur de nouveaux traitements pour les maladies de la peau ac8e5Dans le cadre du plan de l’Investissement Plan for Europe, la Banque européenne d’investissement (BEI) vient de fournir à Almirall, une entreprise pharmaceutique espagnole 120 M€ dans le cadre du développement de nouveaux médicaments pour des problèmes dermatologiques qui manquent actuellement de traitement efficace pharmaceutiques. Un projet de recherche qui portera notamment sur des pathologies telles que le psoriasis la dermatite atopique et la kératose actinique, un type de lésion cutanée précancéreuse. Un accord signé le 25 juin à Barcelonne en présence de la vice-présidente de la BEI La présidente Emma Navarro et Peter Guenter, PDG d’Almirall

  • La FNATH publie les résultats d’une enquête « Addictions en situation de rupture professionnelle »

    La FNATH,Graphisme enquête a gauche la consommation en lien avec la rupture d'emploi a droite la consommation qui pose problème 4311f association des accidentés de la vie, mène une campagne de prévention des addictions à destination des personnes en situation de rupture d’emploi. Elle diffuse aujourd’hui la synthèse d’une enquête « Addictions en situation de rupture professionnelle » réalisée du 30 janvier au 29 avril 2019(1) et visant à mieux connaître le lien entre rupture professionnelle et consommations addictives. Ils seraient ainsi 58 % à avoir reconnu à avoir consommé des substances et 79 % des personnes interrogé reconnaissent être en situation de handicap. Parmi ces médicaments celle contre la douleur arrive en au premier rang des substances psychoactives consommées.

  • Lancement de la première réunion du Conseil « Access to COVID-19 Tools Accelerator »

    le secretaire d etat clement beaune chargee des affaires europeenne 289d5Dans le cadre de la perceptive d’un traitement de type vaccin ou d’un médicament. L’Union Européenne représenté par sa présidente, des représentant d’Afrique du sud et du Rwanda, de la Première ministre norvégienne, de ministres en charge de la santé ou des affaires étrangères des autres pays membres du Conseil et du directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). La France présente était elle représenté par Clément BEAUNE, secrétaire d'État auprès du ministre de l'Europe et des affaires étrangères chargé des affaires européennes. Une première réunion lancée à l’initiative « Access to COVID-19 Tools Accelerator ».

  • Le déremboursement entraîne une hausse immédiate des ventes des médicaments non remboursables de +2%

    etagère de médicament au sein dune pharmacie 945f4En 2016, le chiffre d’affaires hors taxes lié aux ventes de médicaments non remboursables atteint 2,2 Mds€, soit 10,7 % du chiffre d’affaires total des médicaments vendus dans les pharmacies de ville. Entre 2010 et 2016, ce dernier a reculé de 1,0 % en moyenne annuelle pour s’établir à 20 Mds€, alors que celui des médicaments non remboursables a augmenté de près de 2,0 % en rythme annuel. Une hausse selon l’étude publiée par la DREES a l’origine d’une part, de l’allongement de la liste des médicaments non remboursables par l’Assurance maladie. D’autre du dynamisme d’un petit nombre de classes thérapeutiques dont les parts de marché sont élevées durant la période. L’année 2011 a fait l’objet d’une attention particulière. Après les déremboursements de cette année-là, la majorité des laboratoires ont augmenté le prix des médicaments concernés, de 39 % en moyenne, ce qui n’a pas empêché une diminution du chiffre d’affaires de ces médicaments récemment déremboursés, de 26 % en moyenne.

  • Le laboratoire UCB Pharma condamné a versé près de 3 M€ pour un handicapé lié a la prise du Distilbène

    Une boite de médicament de distilbene 1mg 959caCe n’est pas la première mise en cause et condamnation du laboratoire pour ce médicament le Distilbène. Un jeune homme polyhandicapé avait obtenu en appel à Versailles en juin 2016 pres 1.7 M € a la suite de la prise de ce médicament par sa mère lors de sa grossesse. Une condamnation que le même TGI de Nanterre a prononcé le 28 février dernier en faveur d’un homme âgé de 30 ans atteint d’un handicap et à sa famille contre le laboratoire UCB Pharma d’un montant de près de 3 M€. Le tribunal ayant estimé que ce handicap avait été la conséquence de la prise du Distilbène par sa grand-mère pendant sa grossesse.

  • Les députés vote la hausse des pénalités contre le laboratoire Sanofi dans l’affaire concernant la Dépakine

    La députee du groupe les républicain véronique louwagie a lassemblee nationale 1 6dcc7Lors de l’étude du projet de loi de finance actuellement discuté par les députés, la députés Véronique LOUWAGIE soutenue par une trente collègues de son groupe ont déposé un amendement voté première lecture afin d’augmenter les pénalités versé par l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (ONIAM), visant Sanofi dans l'affaire de la Dépakine. Une vote dont la présidente de l’association, de l'APESAC (Association d'aide aux parents d'enfants souffrant du syndrome de l'anticonvulsivant) Marine MARTIN à exprimé sa satisfaction.

  • Les étudiants inquiets du manque de transparence des essais cliniques au seins des des universités européennes

    Un chercheur effectuant des essais cliniques sur un médicamentsSelon une étude publiée jeudi dans le British Medical Journal, la moitié des essais cliniques réalisés dans l’UE n’ont pas satisfait à l’obligation de rapporter leurs résultats. Les universités sont particulièrement peu performantes, avec seulement 11% des essais cliniques déclarés en moyenne. Une nouvelle inquiétante alors que la rentrée universitaire aura le 00 septembre prochain, mais aussi pour la recherche scientifique.

  • Médicaments biosimilaires : l’hôpital, premier vecteur de leur diffusion ces copies officielles !!!

    graphisme sur la pénétration des médicaments biosimilaires à lhôpital et en ville 4f5dcUne étude de la DREES publié aujourd’hui souligne l'importance des prescripteurs hospitaliers dans la diffusion des médicaments biosimilaires. Quel est leur rôle dans la pénétration sur le marché de ville pour permettre à l'Assurance maladie de dégager plus d'économies ? Des économies dont son dernier rapport « Charges & Produits » publié en juillet dernier souhaite atteindre plus de 2 Mds€ d’économie en 2020 destinée à améliorer la qualité de soins et mieux maîtriser l’évolution des dépenses de santé parmi celle-ci 43 % proviendront des médicaments et des dispositifs médicaux.

  • Ouverture d’une enquête pour mise en danger d’autrui sur des médicaments a lié l’autisme

    utilisation de médicament et des traitement dangereux liée a l autisme b9631Un fait qui n’est pas nouveaux mais dont cette fois il semblerais que la justice soit enfin saisie . A la suite d’une saisie par l’Agence du Médicament (ANSM) qui avait déclarer avoir annoncé le 15 septembre dernier saisie le procureur. Le parquet de Paris, vient d’annoncer aujourd’hui l’ouverture d’une enquête judicaire contre des plusieurs médecins. Une enquête pour mise en danger contre la vie d’autrui contre des médecins ayant prescrit des antibiotiques, ou encore des substances pour éliminer des métaux lourd qui aurait selon eux permis de guérir des enfants autistes.

  • Pénurie de médicament : France Assos Santé exige du gouvernement des mesures "fermes" et "coercitives"

    Des médicaments située sur les étagère du pharmacie f2807Alors que depuis plusieurs années de nombreux médicament ne cesse d’être en rupture de stock. Un enjeu de santé publique qui préoccupe les français dans un sondage BVA publié en janvier 2019, mais aussi par une pétition lancé par une dizaine d’association et le rhumatologue Francis BERENBAUM. Une situation que dénonce s’aggrave selon France Assos Santé qui demande à la Ministre de la Santé Agnès BUZYN, des mesures en « urgence des mesures fermes et concrètes » dans un communiqué. Une situation pour lequel Agnès BUZYN annonce le lancement d’une « feuille de route regroupées en 4 axes » et qui pourra faire fera « l’objet d’enrichissement de la part des acteurs concernés d’ici septembre prochain » a telle précisé.

  • SIDA : Dix jours décisifs pour l'éradication et peut-être des espoirs à la clé…


    Cinquieme congre mondiale scientifique contre le VIHAu lendemain de la journée mondiale contre le SIDA, les chercheurs sont plus que jamais déterminés à explorer toute piste conduisant à la guérison de l'infection par le VIH. Deux cents d'entre eux se réuniront du six au neuf décembre à Philipsburg (Sin Maarten), pour un séminaire de travail destiné à définir de nouvelles stratégies thérapeutiques contre ce virus. Le slogan retenu pour cette nouvelle journée mondiale du 1er décembre contre le SIDA est clair : « Parvenir à zéro : zéro nouveau cas d'infection, zéro décès dû au VIH, zéro discrimination ».