La Fédération nationale des orthophonistes (FNO) reconnait un « effort », a la publication de l’arrêté du 25 avril fixant le nombre d’étudiants à être admis en première année d’études d’orthophonie en septembre 2019, quelle juge « encore très insuffisant ». Ils seront ainsi selon ce nouvelle arrêté 905 étudiants à débuter leur cursus d’études d’orthophonie dans les 21 centres de formation (avec une ouverture à Rennes) répartis dans les différentes régions de métropole lors de la rentrée pour l'année universitaire 2019-2020. Une évolution de 31 places supplémentaires par rapport à la rentrée 2018 pour laquelle 874 places étaient disponibles.
Alors que bon nombre de jeune adolescent ont encore rencontrer cette année de nombreuses difficultés à l’occasion du bac ou des brevets souffrant de dyslexique la Fédération Nationale des Orthophonistes (FNO) met en garde la ministre de la santé concernant les admissions à l’enseignement d’orthophonie (rentrée 2018) au Centre de Formation Universitaire en Orthophonie (CFUO) de Toulouse, marquées par l’absence de liste complémentaire.
La commission des affaires sociales du Sénat, a présenté ces conclusions le 5 octobre dernier relative a la ratification de l’ordonnance n°2017-50 du 19 janvier 2017 relative à la reconnaissance des qualifications professionnelles dans le domaine de la santé a supprimer partiellement « les dispositions introduisant un accès partiel aux professions de santé, en considération des risques pesant sur la cohérence, la qualité, et la sécurité de notre système de soins ».
Dans un communiqué l’Élysée vient d’annoncer officiellement le souhait du Président de la République Emmanuel Macron d'accueillir en France, en 2019, la sixieme conférence du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme après le Canada en 2016. La France qui l’un des premiers financeurs de ce fond, dont l'objectif est de récolter de nouveaux fonds et de mobiliser le plus grand nombre d'acteurs possibles pour mieux prévenir et éradiquer ces pandémies.
Pour la première fois la Haute Autorité de Santé (HAS) a annoncé sa décision d’inscrire la rééducation des personnes atteinte de paralysie cérébrale dans son programme 2019 en vue de l'élaboration de bonnes pratiques, basées sur des progrès récents. Une annonce dont se félicite la Fédération française des associations d'infirmes moteurs cérébraux et la Fondation Paralysie cérébrale, seule fondation de recherche en France spécifiquement dédiée à cette pathologie, d’avoir « enfin été entendus pour cette première cause de handicap moteur de l’enfant ».
Après l’annonce d’un plan en janvier dernier au Congrès de l’Encéphale et des nombreuses craintes exprimées. La ministre de la Santé Agnès BUZYN a présenté lors du 1er Comité Stratégique de la Santé Mentale et de la psychiatrie (CSSMP), le 28 juin dernier à Paris au foyer de vie Camille CLAUDEL, au côté de Sophie CLUZEL, la secrétaire d’État en charge du handicap, sa feuille de route en 37 mesures, pour la psychiatrie avec trois axes principaux la prévention « dès le plus jeune âge » et « déstigmatiser la maladie psychique ».
Dans le cadre de la stratégie nationale sport santé, Laura FLESSEL, ministre des Sports, c’est rendu aujourd’hui en Meurthe et Moselle, pour l’inauguration du nouveau « Centre Universitaire de Médecine du Sport et Activité Physique Adaptée (CUMSAPA) » du CHRU de Nancy-Brabois. L’ancienne escrimeuse qui s'est rendu milieu d’après-midi au centre d’escrime de Vandœuvre-lès-Nancy, qui accueille des patientes de l’Institut de cancérologie de Lorraine opérées d’un cancer du sein dans le cadre d'un programme intitulé « RIPOSTE » dirigé par le docteur et maître d’armes POUSSEL et le Dr DELATTRE (médecin de l’ICL).
Souvent critiqué, parfois il vrai par des comportements inadmissibles comme sur l’autisme ou d’épilepsie. La psychiatrie est devenue depuis quelques années le parent pauvre de la médecine. Une pratique qui pourtant a toute sa place dans la médecine moderne. Une « discipline à soutenir » telle est l’appel de cette lettre ouverte signé par la présidente de l’UNAFAM Béatrice BORREL. Une lettre qui interpelle la ministre, sur la crainte de l’association sur la disparition de cette discipline, mais aussi sur le décret relatif aux domaines d’intervention, aux conditions et aux règles s’appliquant à l’infirmier exerçant en pratique avancée.
Avec 57 robots mis à disposition des lycéens malades dès septembre prochain, la Région Auvergne-Rhône-Alpes devient la première collectivité à financer à une telle échelle le déploiement de robots de télé-présence. Si le projet n’a pas objectif de remplacer l’AVS ou le personnel humain il offre ici une solution ici le mérite d’offrir à l’élève un soutien sans failles et sur lequel l’élève pourra compter. Des robots que Juliette JARRY, Vice-présidente déléguée aux Infrastructures, à l’économie et aux usages numériques, et Sandrine CHAIX, Conseillère spéciale au Handicap, ont réceptionné cette commande le jeudi 21 juin dernier.
L'association premiers de cordée lance la première édition de la Tournée du Sport à l’Hôpital, une initiative POSITIVE FOOTBALL. Quatrième étape à Rennes, le lundi 19 novembre, pour initier au football les enfants du Centre médical et pédagogique de Rennes Beaulieu. L’association qui compte parmi ces parrains le champion du monde Mbappé. Tres présente en Ile de France l’association souhaite avec cette campagne accélérer notre développement sur le plan national. C'est dans cette idée qu'est née la "Tournée du Sport à l'hôpital" ! Une tournée en dix étapes qui débute aujourd’hui à l’Hôpital pédiatrique Gatien de Clocheville de Tours pour se terminer le 6 décembre à Marseille.
La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) du ministère des Solidarités et de la Santé et l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) réalisent en collaboration une grande enquête statistique sur la santé dans tous les départements d’outre-mer (Dom), à partir du 8 juillet et jusqu’en décembre 2019 et concernera 10 000 personnes. Depuis avril et jusqu’à décembre une enquête concerne elle métropole avec 20 000 personnes également tiré au sort par l’Insee.
Maladie rare qui se manifeste notamment par des douleurs abdominales « rebelles », la maladie et peut connue du grand public, et encore moins la maladie elle-même. l'ADIIS (Association pour le Développement d'Initiatives Innovantes en Santé), qui organise cette première campagne Patientys by Webhelp. Une première campagne de repérage 100% digitale destinée aux personnes souffrant de Porphyrie qui se caractérisée par des douleurs abdominales rebelles. L'objectif pour l’association, sensibiliser les femmes en errance thérapeutique afin de les orienter dans un parcours de soins optimisé permettant de faciliter leur diagnostic et leur prise en charge thérapeutique.
Si certains continue à faire croire à la solution miracle pour lutter contre les douleurs chroniques, beaucoup n’ont d’autre choix que de la supporter. Soit par manque d’efficacité des médicaments, soit aussi par un manque de mobilisation de l’opinion publique, du corps médical parfois et surtout une absence de prise en compte des politiques. Une situation qui à conduit le collectif Stop douleur, à interpeller dans une pétition qui a réunie prés 6 270 signatures, la ministre de la santé Agnès BUZYN.
Le 29 octobre dernier après la réunion avec le premier ministre le 26 octobre, Sophie CLUZEL avait annoncé le report du Comité Interministériel du Handicap (CIH) pour cause de crise sanitaire mais sans préciser de date. Lors de de sa conférence de presse sur l'impact de la pandémie sur les personnes handicapées, la secrétaire d’état en charge du handicap annonce la 16 novembre prochain certainement lieu en visio-conférence. Un comité qui devrait se réunir autour des ministres mais aussi pour la première fois des représentant du CNCPH, des associations dont les demandes et les attentes sont importantes. Mais aussi le jour même du lancement de 24ème édition semaine européenne de l’emploi des personnes handicapées.
En 2016, le chiffre d’affaires hors taxes lié aux ventes de médicaments non remboursables atteint 2,2 Mds€, soit 10,7 % du chiffre d’affaires total des médicaments vendus dans les pharmacies de ville. Entre 2010 et 2016, ce dernier a reculé de 1,0 % en moyenne annuelle pour s’établir à 20 Mds€, alors que celui des médicaments non remboursables a augmenté de près de 2,0 % en rythme annuel. Une hausse selon l’étude publiée par la DREES a l’origine d’une part, de l’allongement de la liste des médicaments non remboursables par l’Assurance maladie. D’autre du dynamisme d’un petit nombre de classes thérapeutiques dont les parts de marché sont élevées durant la période. L’année 2011 a fait l’objet d’une attention particulière. Après les déremboursements de cette année-là, la majorité des laboratoires ont augmenté le prix des médicaments concernés, de 39 % en moyenne, ce qui n’a pas empêché une diminution du chiffre d’affaires de ces médicaments récemment déremboursés, de 26 % en moyenne.
Après avoir été missionné une première fois en 2019 et rendu un rapport sur l’accès au soins pour les personnes en situation de handicap en 2019. Philippe DENORMANDIE avec Cécile CHEVALIER ont remis à Brigitte BOURGUIGNON, Ministre déléguée auprès du Ministre des Solidarités et de la Santé chargée de l’Autonomie et Sophie CLUZEL, Secrétaire d’Etat chargée des Personnes Handicapées. Un second rapport sur l’aide techniques pour l'autonomie des personnes handicapées ou âgées : une reforme structurelle indispensable. Des recommandations censé améliorer le recours aux aides techniques, à travers un accompagnement renforcé des personnes et des professionnels de santé, des dispositifs de financement simplifiés et mieux adaptés, et un accès plus direct à l’innovation.
Si ce plan ne contient aucun des éléments clés de transformation, d’adaptation de notre système de santé au nouvel environnement démographique, épidémiologique et technologique, c’est un formidable exemple d’autisme étatique et d’incapacité à tirer les leçons des échecs des dernières lois de santé.
Une journée créer en 2003 instituée en 2003 par l’Association internationale pour la prévention du suicide1 qui célébrera sa 21ème édition. Un suicide qui dans le monde représente la mort de plus 770 000 mort chaque année et la quatrième cause de mortalité chez les 15-29 ans. Dont 77 % dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. Le suicide est un problème de santé publique majeur qui touche environ 56.000 personnes par an en Europe, soit 1,1 % de tous les décès. La France fait partie des pays européens où le taux de suicide est le plus élevé, avec 13,8 décès pour 100.000 habitants en 2019, derrière la Lituanie, la Lettonie et la Slovénie.
A la suite du vote de la loi 2019-222 de programmation 2018-2022 et de réforme pour la justice, les associations comme l’UNAFAM, FNPYS ou Argos 2001 ont dans un communiqué commun dénoncé la disparition programmé par les articles 102 et 109 des magistrats siégeant dans les Commissions Départementales des Soins Psychiatriques (CDSP). Une décision jugée comme « un coup porté à la démocratie sanitaire ! » et pour lequel les associations de patients et leurs familles s’insurgent contre cette modification qui met selon elles « en péril le droit à l’impartialité des patients en soins sans consentement ».