A l’occasion de la journée mondiale du suicide (v. Article) qui aura lieu le 10 septembre prochain sous le thème « Le suicide peut être évité ». Un sujet demeure au lendemain de crise du Covid 19. Une cause dont les plus jeunes ne sont pas épargné, mais aussi la crise sanitaire du Covid 19 dont les impacts sont aujourd’hui démontrés sans pourtant avoir été un facteur d’augmentation. Une étude publié qui semble paraitre néanmoins une certaine efficacité, de ce dispositif VigilanS1 de prévention du suicide, néanmoins celui ne met en avant que la période 2015 à 2017. Donc avant la crise sanitaire du covid 19.
Le rapport publié le 8 septembre dernier présente les conclusions de la commission d'enquête de la Cour des comptes sur l'état de la fraude sociale en France, effectué a la demande de la commission des affaires sociales du Sénat. La cour des compte qui pointe le doigt dans ce rapport a la fois sur une fraude organisé identifiant 75,3 millions d’assurés sociaux pris en charge dans un pays de 67,1 millions d’habitants, ainsi que 7,7 millions de retraités «nés à l’étranger». Des arguments mise en avant par Charles PRATS délégué de l’Association professionnelle des magistrats dans un livre « Cartel des Fraudes » parue en 2020 au édition Ring. Une situation dont la cour dénonce notamment un manque de volonté politique et « des progrès trop lents », et réclame un « changement d’échelle indispensable ».
A l’occasion de la journée internationale des droits de l’enfant, le 20 novembre, et dans le cadre de sa mission de défense et de promotion des droits de l’enfant, le Défenseur des droits, Jacques TOUBON, et la Défenseure des enfants, Geneviève AVENARD, son adjointe ont rendu leur rapport annuel intitulé « Enfance et violence : la part des institutions publiques ». Des violences auxquelles les enfants en situation de handicap n’échappent pas représentant 18 % des cas. Des violences subies par les enfants au sein des institutions publiques, qu’elles soient verbales, physiques ou psychologiques, directes ou indirectes, commises entre enfants ou par des adultes.
Elle demeure une politique essentielle aux yeux des français. Une vision et un droit que la crise des gilets jaune avait aussi mise en avant. Une enquête publiée par la DREES(1) vient confirmer un sentiment ressenti en 2015 par deux chercheuses du Crédoc pour lequel la politique familiale devait servir en priorité a lutté contre la pauvreté et non la natalité. Selon la DREES, 48 % des personnes interrogées jugent que ce sont les familles les plus modestes qu’il faut aider en priorité et les familles concernés par le handicap sont évidemment prise en compte. Des dépenses qui en 2017, représentent un quart des dépenses publiques du risque famille soit 12,6 Mds.
La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie une nouvelle étude "Quelle évolution pour la santé mentale de nos enfants ?", sur les difficultés psychosociales des enfants et adolescents au premier semestre 2021. Cette étude (1) apporte un éclairage tout particulier sur les disparités sociales qui accompagnent ces difficultés, sur leur retentissement dans la vie quotidienne des jeunes et sur les recours aux soins pour motifs psychologiques au cours de la crise Covid. Une étude publiée alors que les premiers résultats de l’enquête Enabee conduite par Santé Publique France en collaboration avec l’Éducation Nationale et publié ce jour apportant une complémentarité de l’analyse de la DREES.