Il semblerait que malgré ces affirmations encore récentes dans le parisien Mme Sophie CLUZEL ne soit pas si attentive aux préoccupations de la vie quotidienne des personnes handicapées. Ou alors uniquement pour les questions venant de la majorité. Déposé le 11 octobre 2018, le Sénateur martiniquais reste sept mois plus tard toujours sans aucune réponse suite à l’évolution de l'éligibilité à la prestation de compensation du handicap pour les handicapés visuels. Ce dernier avait en effet attiré l'attention des Ministres sur la situation des personnes âgées de plus de 60 ans dont le handicap visuel ne pouvant être reconnu au titre de la prestation de compensation du handicap (PCH).
À l’issue d’un cycle d’auditions de près de 10 mois, M. Philippe MOUILLER, rapporteur du groupe de travail sénatorial sur le financement de l’accompagnement du handicap, a présenté à la commission des affaires sociales du Sénat les conclusions de son rapport en présence de la Secrétaire d’État Sophie CLUZEL. Structures médico-sociales, assistance à domicile ou aides à l'achat de fauteuils, le rapport pointant du doigt a la fois la rigidité de l’offre actuelle et formulant une quarantaine de propositions afin de mieux répondre aux orientations nécessaires pour la mise en œuvre d’une société plus inclusive.
A l’occasion des questions d’actualité au Sénat le Sénateur Phillippe MOUILLER des Deux-Sèvres (LR) est revenu sur les nombreuses inquiétudes subsistent chez les acteurs et les familles concernant les réformes dans le domaine du handicap et ceux notamment dans le domaine de l'école et l'entreprise. Le Sénateur s’interrogeant six mois après la la promulgation de la loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel, dont l'ambition était, notamment, de garantir un parcours professionnel plus fluide aux personnes handicapées sur la réalité de son impact et notamment sur la refonte de l'obligation d'emploi des travailleurs handicapés. Une inquiétude dont le Sénateur est également revenu sur la politique annoncée de « l’école inclusive », regrettant de nombreuse par d’ombre….
A la suite du vote de la loi 2019-222 de programmation 2018-2022 et de réforme pour la justice, les associations comme l’UNAFAM, FNPYS ou Argos 2001 ont dans un communiqué commun dénoncé la disparition programmé par les articles 102 et 109 des magistrats siégeant dans les Commissions Départementales des Soins Psychiatriques (CDSP). Une décision jugée comme « un coup porté à la démocratie sanitaire ! » et pour lequel les associations de patients et leurs familles s’insurgent contre cette modification qui met selon elles « en péril le droit à l’impartialité des patients en soins sans consentement ».
Hier 2 octobre, le conseil d'administration de la Caisse nationale des Allocations familiales a adopté les modalités de mise en œuvre des bonus prévus dans la Convention d'objectifs et de gestion de la branche Famille 2018-2022 afin de favoriser l'accueil des enfants en situation de handicap et en situation de pauvreté. L’accueil des enfants en situation de handicap ou de pauvreté dans les établissements d’accueil du jeune enfant (EAJE) est une priorité de la nouvelle COG de la branche Famille de la Sécurité sociale. Afin de compenser les surcoûts observés pour les établissements d’accueil du jeune enfant qui accueillent des enfants en situation de handicap,
Voté définitivement le 16 octobre dernier la loi Élan fait l’objet à quelques jours de sa promulgation, d’un nouveau contretemps avec un recours devant le conseil constitutionnel déposé par 60 députés du partis socialiste, les communistes, ainsi que la France Insoumise. Une loi attaquée sur deux fronts celle concernant loi du littoral, mais surtout sur l’aspect concernant l’accessibilité prévus au sein de l’article 18. Des députes dont le manifeste au Conseil constitutionnel précise sur point que son application « porte une atteinte manifeste au principe d’accessibilité aux logements des personnes à mobilité réduite et méconnaissent, par la même, le principe constitutionnel d’égalité ».
Le 5 mars dernier es Trophées Femmes en EA ont été accueillis par le Médiateur des Entreprises, à proximité de la journée des Droits des Femmes, au Ministère de l’Économie et des Finances. Une 5e édition placée sous le signe du succès avec plus de 450 inscrits - salariés, dirigeants, acheteurs, responsables de mission handicap, diversité et RSE - 51 candidates et 72 Entreprises Adaptées venues de toute la France. Une journée présidé par la fondatrice de ce prix et de handireseau, Dominique du PATY.
Alors qu'Agnès BUZYN a présenté sa feuille de route et installé le nouveau comité stratégique pour la santé mentale et la psychiatrie (CSSMP) le 28 juin dernier. Les syndicats hospitaliers publics dénoncent à la fois la composition de celui-ci mais aussi les 37 mesures contenues dans la feuille de route. Un mal-être d’une profession dont une étude concernant la santé mentale et le bien-être des étudiants en santé pointe un malaise évident parmi cette population qui s’est engagée dans des études très longues, hypersélectives et souvent épuisantes.
Des « droits qui continuent à être bafoués » tels et ce que dénonce une nouvelle fois la Fédération des Dys qui ne supporte plus que les familles soient confrontées chaque année, à ce même combat. « Voilà plus de 5 ans que les familles et les jeunes porteurs de troubles Dys se battent pour obtenir une reconnaissance de leurs besoins d’aménagement au moment des épreuves d’examens » précisent la fédération. Et cela malgré une note du défenseur des droitset des décisions des tribunaux suite à des recours, rien ne bouge. La situation continue à se détériorer !
Revendiqué depuis plusieurs années par plusieurs associations comme l’UNAPEI ou l’APAJH, tout comme par le défenseur des droits dans un rapport de mars 2015, elle demeure aussi l’objet de crainte pour les craintes. Un changement du Code civil et électoral qui permettra aux personnes majeures sous tutelle de disposer d’un droit de vote mais aussi de se marier, se pacser et divorcer. Une mesure annoncée par la Secrétaire d’État a l’occasion du Comité interministériel du handicap qui s’est tenu ce matin a Matignon et de « replacer ces personnes handicapées dans le cadre d’une citoyenneté pleine et entière » à telle précisé. Une avancée dont elle avait regretté la veille au le Sénat ne pas avoir compris « son opposition »
Non remboursées jusque-là en milieu scolaire, les séances d’orthophonie auprès d’enfants en situation de handicap. Ces séances devaient pour pouvoir être remboursée réalisées au cabinet de l’orthophoniste ou au domicile du patient. Depuis le 15 juillet et après la signature d’un accord entre Sophie CLUZEL la secrétaire d’État en charge du handicap et Adrien TAQUET, Secrétaire d’État auprès de la ministre des Solidarités et de la Santé chargé de la Protection de l’enfance avec les représentants des orthophonistes et l’Assurance maladie les soins réalisées notamment en milieu scolaire seront également prise en charge.
Une nouvelle fois deux ans après la mobilisation de septembre 2016 contre le projet de transfert du financement des cinq Instituts nationaux de jeunes sourds et de jeunes aveugles (INJ) aux Agences régionales de santé. L’intersyndicale et l’association des Parents et Amis des instituts nationaux (INJA et INJS), réitère leur opposition formelle à ce même projet que propose le rapport de l’IGAS/IGEN/IGAENR. Syndicat et association dénoncent l’absence d’une réelle concertation fondée sur un bilan beaucoup plus complet. Une opposition formulée dans une lettre ouverte adressée a la ministre des solidarités et de la santé, Agnès BUZYN, à la secrétaire d’État, Sophie CLUZEL et au ministre de l'Éducation nationale.
Après l’annonce ce 5 juin, de la ministre du Travail Muriel PÉNICAUD, et Sophie CLUZEL, Secrétaire d’État chargée des Personnes handicapées présentant le premier point d’étape sur la politique de l’emploi des personnes en situation de handicap. La CFE-CGC affirme regretter le comportement du gouvernement et de la Ministre pour lequel il s’agit plus d’une réflexion que d’une concertation alors que tous semblaient pourtant d’accord sur le constat. Un avis que semble partagée également la CFDT, FO ou la CGT qui « déplore le manque d’ambition récurrent et les échecs des politiques d’emplois des personnes handicapées depuis des décennies ».
Alors que le secrétaire d’État Sophie CLUZEL, en charge du handicap, travaille toujours actuellement sur une, réforme de l’emploi des travailleurs handicapés, et a une plus grande « inclusion en milieu ordinaire », reforme qui devrait être présente dans les prochaines semaines. Les cinq principales organisations syndicales (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO), renouvellent leur attachement à la négociation collective et à la signature d’accords dédiés au Handicap, au niveau des branches et des entreprises, ceci dans l’objectif de « mieux intégrer et maintenir en emploi les personnes handicapées ».
Le 18 juin dernier l’université Lumière Lyon 2 à accueilli la deuxième cérémonie des Trophées Lumière de l'entreprise inclusive. Le jury récompense à cette occasion au travers de 9 trophès dans 8 catégories après avoir étudié une diversité de dossiers en provenance d'entreprises du territoire régional, national et de quelques entreprises européennes, les entreprises à la politique inclusive dite « remarquable et innovante » par les organisateurs. Une remise de prix qui cette année aura vu la présence la secrétaire d’État en charge du handicap, de Sophie CLUZEL également marraine de ce prix.
Comme c’est le cas régulièrement des parents, sont contraints à mobiliser et faire prendre conscience aux français, mais surtout au politique de la situation dramatique dans lequel il se trouve face a l’impossibilité pour leurs enfants de bénéficier d’un droit pourtant reconnu a tous les enfants celui de bénéficier d’une scolarité. Si selon Secrétaire d’État Sophie CLUZEL et le Ministre de l’Éducation nationale tout va bien, il y a pourtant urgence à agir comme l’affirmait il y a quelques jours le député Aurélien PRADIE dans une proposition de loi rejeté par la majorité. C’est cette situation que vit actuellement la petite Louka et j'ai trois ans et demi qui ne dispose toujours pas d’une AESH ou AVS qui a lancé une pétition qui atteint 45 257
Secrétaire d’État auprès de la ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale de 2010 à 2012 elle avait notamment porté comme Secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées la loi du 11 février 2005. Marie-Anne MONTCHAMP a été élue hier à la présidence de la CNSA à l’occasion d’un conseil extraordinaire. Une femme d’expérience qui se voie récompensé également pour son soutien a Emmunel MACRON qui l’avait désigné pour siéger au sein du conseil de la CNSA comme personnalité qualifiée, aux côtés de Philippe de NORMANDIE et du philosophe et écrivain autiste, Josef SCHOVANEC, par arrêté du 18 octobre 2017.
Ce jeudi 4 juillet 2019, la Conférence des grandes écoles (CGE) et la Mission Handicap Assurance (MHA) ont remis à treize étudiants en situation de handicap des bourses d’encouragement à la mobilité internationale. Une cérémonie à l’Hôtel de Lassay, en présence Richard FERRAND, Président de l’Assemblée nationale et Sophie CLUZEL, Secrétaire d'État en charge du handicap. Auquel aura participé la CGE représentée par Yves POILANE, Président de la commission Relations Internationales. Une belle cérémonie qui cache avant tout une réalité celle de la présence des étudiants en situation de handicap qui sont moins de 2 % à pouvoir accéder a étude supérieur en 2018.
Officiellement créée en juillet 2018, les entreprises adaptées de travail temporaire (EATT), entre le ministère du travail et par l’Unapei, APF France Handicap et l’association l’UNEA, auquel avait refusé de se joindre l’APAJH. Le décret n° 2019-360 instituant cette nouvelle entreprise a été publié ce 24 avril. Un nouveau modèle qui entend devenir le spécialiste de l'intérim pour les personnes handicapées, avec un accompagnement dédié. Une expérience menée jusqu'à fin 2022 pour lequel la ministre du travail Muriel PENICAUD c’est rendu dans à Saint-Geours de Maremne, au sein de l’entreprise FMS (Facylities Multi Services). Une visite dans un contexte ou le taux de chômage chez les travailleurs handicapés continue de progresser pour atteindre près de 23 %. Une situation jugée inacceptable par près de 9 Français sur 10 (89%) d’après la récente enquête menée par CSA pour UNEA.