Affaire Vincent LAMBERT : Le Défenseur des droits refuse de trancher et rejette la demande des parents
Après l’annonce la semaine dernière du Dr Vincent SANCHEZ du CHU de REIMS d’annoncer sa décision de mettre fin l’arrêt « des traitements et la sédation profonde et continue » dans la semaine du 20 Mai. Vivianne et Pierre LAMBERT la mère et ses avocats avaient annoncées avoir saisi le défenseur des droits et le Comité de l’ONU compétent pour les droits des personnes handicapées. Le défenseur des droits Jacques TOUBON a annoncé qu’il « ne lui appartenait pas de trancher » rappelant que sa décision ne pouvait avoir « d’effet suspensif » et que « plusieurs juridictions avaient rendues des décisions ». Les parents qui ont lancé un appel a manifesté ce dimanche devant le CHU de Reims afin d'empêcher ce qu’il considère « comme un crime » c’est-à-dire l'arrêt programmé des traitements.
Affaire Vincent LAMBERT : le Dr Vincent SANCHEZ du CHU de REIMS déclenche l'arrêt des soins
Après l'email envoyé la semaine dernière par le Dr SANCHEZ annonçant la fin "l'arrêt des traitements" et de "la sédation profonde et continue" a commencé cette procédure depuis ce matin comme il l'avait indiqué. Les parents qui avaient appelé ce dimanche avec l'association "Je soutiens Vincent" réunissant une centaine de personnes. Après une visite ce matin à son fils, Vivianne, a affirmé parlant des médecin « C'est une honte, un scandale absolu, ce sont c'est des monstres ! des monstres ! des nazis, il mérite...». Leurs avocats qui annonçait faire avoir engagé trois recours notamment devant la cour d'appel, et une procédure d'urgence devant la cour européenne des droits de l'homme, qui annonce le rejet de la procédure. Une affaire qui malheureusement prend désormais une tournure politique.
Affaire Vincent LAMBERT le médecin annonce la reprise de l’arrêt des traitements sa mère se rend à Genève
Au lendemain de l’arrêt de la cour de cassation du 28 juin 2019 dont sa décision autorisé le médecin du CHU de Reims le Dr Vincent SANCHEZ a reprendre le procéssus celui à à annoncé avoir repris aujourd’hui l’arrêt des traitements appelant les familles et l’ensemble des ses proches à « la responsabilité de chacun ». Un arrêt auquel la mère de Vincent LAMBERT se refuse absolument et qui était hier et à Genève devant les Nations Unies pour défendre implorant celle-ci de convaincre la France a respecté ses engagements envers le Comité des droits des personnes handicapés (CDPH).
Affaire Vincent LAMBERT le tribunal administratif confirme l’arrêt des soins en rejetant le recours des parents
Plus de dix ans après son accident en 2008 et d’une bataille judiciaire commencé il cinq ans entre son épouse et ses parents et de deux des frères et soeurs refusant obstinément l’arrêt des soins. Le Tribunal administratif de Châlons-en-Champagne (Marne) vient de confirmer dans un arrêt, que « Le maintien des soins et traitements constitue une obstination déraisonnable » comme l’affirme la loi Claeys-Leonetti sur la fin de vie. La fin d’une affaire et d’une délivrance pour cette homme âgé aujourd’hui de 42 ans, ouvrant la voie à la procédure d'arrêt des soins voulue par le CHU de Reims ? Pas sur...
Après neuf jour d’arrêt des traitement Vincent LAMBERT est décédé ce matin à 8h24 au CHU de Reims
Vincent LAMBERT sera donc décédé après une bataille judiciaire et familiale qui aura durée plus de dix ans. L’homme âgé de 43 ans après un accident de voiture en 2008 et depuis cette date dans un état « végétatif », est décédé entourer pour la première par sa famille a 8h24 ce matin, neuf jours après l’arrêt des traitement mise en œuvre par le Dr. Vincent SANCHEZ du CHU de Reims. C’est une bataille familiale et d’un long feuilleton juridique, médiatique et politique, avec en arrière-plan permanent, la question de la légalisation de l’euthanasie. Une question pour lequel les Français avait répondu dans un sondage IFOP de décembre 2017 selon lequel 89 % des Français se déclarent favorable à l’euthanasie.
Inégaux devant la mort « Droit à mourir »: l'ultime injustice sociale
Alors que notre société ne cesse de connaitre les contreverses de l'affaire Vincent LAMBERT et que le partlement étudie a nouveau la question. Le droit de mourir et comme le revendique le président de l'ADMD « dans la dignité », l'auteur Robert HOLCMAN revient sur le sujet en abordant ce que certains considéré comme un droit et d'autre comme un crime déguisé. Un auteur qui reste confiant l'avenir et a l'évolution de la société, précisant dans son introduction, que « La loi étant l'expression de la volonté générale, il y a fort à parier qu'elle finira inéluctablement par s'ajuster à l'opinion majoritaire s'il n'est pas démontré que le débat fondamental quant à l'euthanasie n'est pas de savoir si cette dernière doit être légalisée mais plutôt si elle est utile ».
L’émission : Dossier Tabou sur M6 lève le voile sur le “Droit de mourir : un tabou français"
Alors que contre toute attente la cour d’appel a rendu hier sa décision et ordonnée la reprise immédiate des traitements qui avait été arrêté 21 mai au matin. Le journaliste et animateur Bernard De la VILLARDIÈRE, “a décidé à de s’intéressé a sujet ce soir a 21h sur M6 au travers d’un documentaire d'Olivier PINTE percutant et vrai. Un sujet ou les nombreux sondages publiés par Ifop ou Ipsos démontre que près de 89 % des Français sont favorables à la légalisation de l'euthanasie. Mais un sujet, qui demeure contrairement à la Belgique ou Pays-Bas ou il pratiqué, tout aussi clivant, à l’image d’un symptôme de notre société contemporaine : celui du droit de mourir dans la dignité et de l’accompagnement de la fin de vie
La cour de cassation ouvre à nouveau l’arrêt des soins pour Vincent LAMBERT
Le 20 Mai dernier contre tout attente et a la surprise des spécialistes la Cour d'appel de Paris qui avait « ordonnait le maintien des soins vitaux » de Vincent LAMBERT, interrompues le matin même. Ce 28 juin la cour de cassation réunie en assemblée plénière déclarant dans un arrêt « la juridiction judiciaire incompétente », et « ne renvoie pas l'affaire devant un juge" » et suivant ainsi les réquisitions du procureur général François MOLINS du 24 juin 2019. Une décision, qui si sur le fond celle-ci n’avait pour objet de répondre sur le fond a cette question, permet désormais à nouveau l’hôpital de Reims d’interrompre à nouveau l’alimentation et l’hydratation artificielle dont bénéficie Vincent LAMBERT depuis un accident de la route, en 2008. Un homme âgé de 43 ans devenu symbole du débat sur la fin de vie en France.
La mère de Vincent Lambert interpelle Emmanuel Macron dans une lettre ouverte sur l’avenir de son fils
Les mots certainement empreint d’émotion, les parents, de Vincent LAMBERT prisonnier de corps et dans un état végétatif depuis son accident le 28 septembre 2008, ont interpellé le président Emmanuel MACRON dans une lettre ouverte dans elle affirme que son « fils a été condamné à mort », après l’annonce 9 avril dernier par le CHU de Reims de l’arrêt des traitements.
Le CHU de Reims annonce l’arrêt des traitements de Vincent LAMBERT près dix ans après son accident
Près trois mois le rejet de la requête devant le Conseil d'État formulée par les parents de Vincent LAMBERT le 28 septembre 2017 a la suite de la demande du CHU de Reims de l’arrêt des soins. Une décision que renouvelle le centre hospitalier de mettre fin à l’alimentation artificielle de Vincent LAMBERT, devenu tétraplégique et dans un état végétatif depuis un accident survenu près de Châlons-en-Champagne le 29 septembre 2008. Un débat qui déchire la famille de cet homme, mais qui aura aussi interpellé la société française et les hommes politiques face a la problématique de la mort et celle de l’euthanasie ou comme le dit, X, du droit de mourir dans la dignité…
Le Conseil d’Etat rejette la demande des parents de Vincent LAMBERT pour le maintien des soins
C’est manifestement une décision supplémentaire confirmant l’arrêt des soins pour ce jeune homme âgé aujourd’hui de 42 ans et dans un état végétatif depuis un accident en 2008. Les juges du Conseil d’État juge reconnaissant la légalité de la décision d’interrompre les traitements de M. Vincent Lambert. Une décision qui malheureusement risque de ne pas être mise en œuvre, les parents Pierre et Viviane LAMBERT ayant annoncé par l’intermédiaire de leur avocat faire appel de la décision a la fois devant la cour européenne de justice sur la base des articles 6 et 13 et devant la cour internationale des personnes handicapées. Un choix qui n’étonne en rien son neveu François LAMBERT qui declarer attendre « avant tout qu’elle soit enfin exécuter ».
Le Dr Vincent SANCHEZ, du CHU de Reims annonce l’arrêt "de la sédation profonde et continue"de Vincent LAMBERT
Le docteur Vincent SANCHEZ du CHU de REIMS aurait annoncer ce 10 mai 2019 à la famille de Vincent LAMBERT qu’il mettrait sa décision du 9 avril 2018 de l’arrêt « des traitements et la sédation profonde et continue » à exécution la semaine du 20 mai 2019. Une décision prise selon lui en conformité avec la décision rendue par le conseil d’État le 24 avril dernier reconnaissant que toutes « conditions d'arrêter la nutrition et l'hydratation artificielles de M. Vincent Lambert puisse être mise en œuvre ». Une décision incompressible les avocats Jean PAILLOT et Jérôme TRIOMPHE des parents, alors qu’ils ont annoncé faire appel une nouvelle de la décision du Conseil d’État.
Les parents de Vincent LAMBERT juge sa mort « désormais inéluctable » et des recours désormais impossible
Alors que Vincent LAMBERT entame la 8ème journée depuis l’arrêt de ces traitements mise en place le 2 juillet dernier par le Dr. Vincent SANCHEZ du CHU de Reims. Et après un ultime recours devant le tribunal administratif de Châlons-en-champagne rejetée par le juge. Viviane et Pierre LAMBERT et ses deux frères et sœurs David et Anne opposée a l’arrêt des soins ont jugée « la mort de Vincent est désormais inéluctable » dans un communiqué diffusé sur le site du comité de soutien.