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Une chef d’entreprise de Nantes appel les candidats a la présidentiels assouplir les règles d'aménagement

Flore LELIEVRE fondatrice du restaurant Le Reflet qui embauche six salaries trisomique mais aussi egalement architecte d interieurL’accessibilité comme le handicap ne fait pas la une dans les programmes des candidats aux élections présidentielles et ceux malgré une mobilisation importante des associations qui lancé des appels ou encore du collectif pour l’accessibilité auquel peut de candidat semblent avoir répondu...Une jeune restauratrice Flore LELIEVRE, a elle pourtant décidé d’interpellé a nouveau les candidats à la présidentielle afin de rendre accessible les lieux publics pour les personnes en situation de handicap, mais aussi pour les personnes âgées ou pour ceux tous ceux contraint à mobilité réduite temporaire en s'interrogant sur la possibilité d'assouplir les régles...

Une situation loin de mobiliser les candidats...
Prévu par la loi du 11 février 2005, plus de dix ans après le bilan reste désastreux. Des gouvernements successifs qui auront fait beaucoup de promesses lors des conférences nationales du handicap ou encore à travers des engagements des conférences d’interministérielles de 2013, 2015 et 2017 sans voir celle tenue. Pire François HOLLANDE qui aura permis le renvoi de la date limite de 2015 à 2022 voir 2024.

Un facteur d’inclusion économique et sociale...
Une situation qui demeure plus que jamais un casse-tête en perspective et ceux tant pour les usagers, que pour les administrations, collectivités territoriales ou encore les entreprises qui sont elle aussi concernée tant pour accueillir leurs clients que les salariés handicapés que la loi leur impose d’embauché. L’accessibilité au sein des entreprises qui demeure le fondement du facteur d’inclusion économique et sociale des personnes en situation de handicap. Mais qui à la fois demeure très compliqué a sa mise en œuvre notamment pour les PME-PMI et le secteur commerçant de petite taille.

Adapter les règles d’accessibilité ?
Une mise aux normes qui aura été pour le moins difficile et coûteuse, « Obtenir une dérogation revenait à refuser les personnes en fauteuil... Inenvisageable » regrette la fondatrice du restaurant Le Reflet, Flore LELIEVRE, dont L equipe du restaurant flottant Le Reflet installe a Nante creee en 2016 parl’équipe est composée de six salariés trisomiques sur les dix membres de l’équipe. Une femme qui interpelle aujourd’hui à travers le une opération, #MoiEntrereneur organisé avec par nos confrères « Le Parisien Eco, les candidats sur le sujet de l’accessibilité dans les entreprises recevant du public.

Flore LELIEVRE qui ne comprend pas cette innovation est put se transformer en parcours du combattant « Je me suis creusé la tête et nous avons aménagé le restaurant avec plusieurs rampes ». Conséquences précise-t-elle « des coûts supplémentaires et quatre couverts en moins, sur une capacité de 36 ». Une chef d’entreprise qui demande aux candidats qui demande si il « ne faudrait assouplir les règles d'aménagement des restaurants et s'adapter aux différentes contraintes des locaux sans avoir à choisir entre mise aux normes complète ou dérogation. »

Un coût prohibitif pour les EPR ou OIP...
Plus de deux ans après le 1er janvier 2015 avait dix ans les Établissement Recevant du Public ou d'Installation Ouverte au Public (IOP) avaient dix ans pour se mettre aux normes, une échéance qui aura été repoussée en 2015 avec les Agendas d’accessibilité programmée au 1er décembre 2016 il été ainsi 189 944 avoir déposé ce dossier pour près 700 000 établissements potentiellement concernés. Résultat, la proportion de bâtiments accessibles aux personnes handicapées aujourd’hui est estimée à 40 % voire 45 %, ce qui est très peu.

Des propriétaires, des collectivités, administrations, et autres qui sont nombreux à reprocher une facture parfois pouvant entraîner un surcoût d’environs de 10 % et qu'ils estiment souvent cela pas rentable...Faut-il donc aider financièrement les entreprises a respecter la loi comme l’État la fait dans l’automobile par exemple, ou donner la possibilité a ces d’assouplir les règle d'aménagement des restaurants et s'adapter aux différentes contraintes des locaux, telle est la question que pose également Flore LELIEVRE.

La Rédaction

 

 

Catégorie : ACCESSIBILITÉ & TRANSPORT
Publication : 14 March 2017

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