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AUDITION : Manque de coordination et bilan mitigé pour cette 51e journée mondiale des sourds

 


2009.09.27 — Estimé à 280 millions dans le monde dont près de 80 % vivent dans les pays pauvres et 75 à 80 millions dans les pays riches selon les chiffres de l’OMS. Ils ne représentent en France près de 5,2 millions de personnes, dont 302 900 déficients auditifs et profonds et 1 429 800 déficients auditifs moyens à sévère selon la DRESS en 2008. Population qui représente donc 8,7 % des Français en métropole. Une journée donc nécessaire pour une compréhension d’une langue souvent mal connue des concitoyens et utilisée par environ 120 000 individus et une reconnaissance commencée après 1948.

 

Mais aujourd’hui qu’en est-il à la veille d’un plan auditif qui sera présenté en décembre par Nadine Morano et de l’installation d’une une « plate-forme d’appels d’urgence » pour les malentendants installés qui devrait voir le jour en 2010 ? C’est l’objet de ce reportage que nous vous proposons et non un bilan de la situation politique ou revendicative de la situation des sourds en France. Nous avons interrogé à cette occasion des responsables associatifs et d’entreprises spécialisées (voir rubrique interview).Vous me direz que l’OMS, l’UE ou les pays nous habitué ses dernières années à ces grands rendez-vous sur lequel malheureusement rien de concret n’est réalisé. À l’exception peut-être, de l’échange des citoyens que nous sommes à la rencontre de nos différences qui font la diversité d’une société. Il ne suffit de « criée » en parole ou en geste, faut-il encore vouloir être « entendu ? ». Sentiment que ne donnent pas les associations nationales ou les fédérations françaises de sourd.5 182 000 le nombre de déficients auditifs. (voir rubrique interview)

 

Bilan d’une Journée ou Semaine mondiale des Sourds très mitigés !!!

Commencée depuis le 20 septembre, la semaine des sourds, a prit fin le 26 septembre par la 51e journée mondiale, organisée dans 123 pays, pour lesquels beaucoup regrettent le manque de coordination et les dates différentes, nom et forme utilisés par les différents pays organisateurs et associations nationales et locales. L’absente complète de certaines fédérations vis-à-vis des médias, leurs manques de communication comme la Fédération nationale des Sourds de France (FNSF), peut permettre de se demander si ceux-ci souhaitent au-delà de manifestation être véritablement « entendu ? ». Il n’est pas évidemment question là de parler d’association locale souvent constituée de bénévoles et bénéficiant de peu de moyens comme a Toulouse par exemple ou Marseille.

Malgré toute force et de constaté que l’essentiel du travail d'échange et de rencontre réalisée sur le terrain et ceux par des bénévoles. Pour notre journaliste présent a Paris son constat sur les manifestations et les lieux de rencontre et d’information avec les entendant à rassemblée qu’une faible participation tant des organisateurs que des Parisiens. Paris n’aura était une fois de plus qu’un lieu symbolique qui aura rassemblé le 26 septembre entre 800 à 1200 personnes entre la Place Colette et la place de république. Dans les manifestants la présence des représentants de la Fédération mondiale des sourds (FMS) ou de l’Union européenne des sourds ceux-ci portant tee-shirt blanc avec l’inscription « I love langue sourde ».

 

Quant à la réponse à la question du refus du handicap ou de l’enferment de cette communauté, serait-il dans la réponse fournie à notre journaliste par le président de la FNSF, Philippe Boyer affirmant « qu’être sourd, ce n’est pas un handicap, mais juste un problème de communication (…) Nous sommes fiers de la langue des signes. Or il y a une tendance à l’effacer en se concentrant sur une réparation de l’audition ». Des Manifestants interrogés comme cette institutrice en LSF du sud de la France nous ont affirmé ne pas comprendre « l’absence de la présence de cette langue dans la constitution précisant que si l’enseignement de la langue n’est pas à la hauteur et le recul de son enseignant, les sourds n’iront pas loin dans les études et auront des difficultés d’insertion professionnelle ». À noter que selon le ministère de l’Éducation les effectifs d’élèves sourds scolarisés restent stables et constituent 4,5 % des 162 016 élèves handicapés scolarisés par le ministère et l’existence de 123 classes d’intégration scolaire (sois 3.2 % des 3 858 CLIS) est dédiée aux déficients auditifs et 54 unités pédagogiques d’intégration (sois 4 % des 1 239 U.P.I.).

Les villes françaises étaient encore cette fois le moteur de ces lieux, malgré le désir de suppression de la manifestation par la FNFS comme a Toulouse. Opération réussie par le nombre visiteurs place du Capitole, le dialogue avec les Toulousains. Présenté la première fois en 2000, son succès fût immédiat, par exemple avec la présence d’un « musée vivant » mettant en scène les difficultés de dialogues que rencontrent dans la vie courante les personnes sourdes ou malentendantes. Journée organisée sous le thème, « Comment communiquer entre sourds et entendant s? » La présence aussi des associations locales et d’entreprises spécialisées. Journée qui a été clôturée par un magnifique concert sur la place du Capitole, animée par le Chanteur… et des musiciens sourds. Associations toulousaines qui viennent après plusieurs années de réflexion et de recherche, pour empêcher la marginalisation de la population sourde défavorisée, a réalisé un projet de sensibilisation sur la surdité par DVD. Projet s’adressant plus spécifiquement aux personnels des services publics; des écoles, collèges, lycées; mais aussi des hôpitaux ; des entreprises ou encore des parents d’enfant sourd et malentendant. Toulouse qui depuis 2002 dispose d’un pôle d’accueil des sourds à l’hôpital Grave, ainsi que l’accessibilité de l’accueil de la CAF, MACIF, Assedic, préfecture, SNCF, bibliothèque, impôts… grâce au système innovant de visioconférence (interprétation à distance) développée par Websourd. Soutenu par l’ancienne municipalité de Jean-Luc Moudenc.

 

Quant aux Français interrogés à Toulouse ou à Paris nous confié qu’ils reconnaissaient le manque de connaissance, dut selon Julien a Toulouse a un manque d’ouverture vers l’extérieur, mais qui nous dira ne pas comprendre « la préférence des sourds a une traduction en LSF sur les télévisions françaises a un système de sous-titrage », encore peu présente selon lui. Actuellement seuls 70 % des chaînes publiques sont équipés en sous-titrage, pis le sous-titrage des films au cinéma reste exceptionnel ! Ou encore Marie-Claude à Paris qui nous affirme admettre la revendication d’une pratique des langues des signes, mais ne pas comprendre le comportement de certain devant un refus catégorique de l’appareillage ou de l’opération quand cela et possible « j’ai l’impression qu’il alors le sentiment de vouloir appartenir à un autre monde ».

 

Il semble exister dans cette communauté une véritable confusion, pour laquelle certains estiment que le droit à l’intégration passerait par l’obligation de la compréhension de la LSF. D’autre refusant parfois les avancés technologiques comme les prothèses oculaires sous prétexte d’une identité de langue. Situation qui s’avère d’autant difficile au vu des degrés de surdité, voire pour certains de l’utilisation du langage orale. La nécessité de l’insertion dans une société qui doit permettre à toutes les différences de s’exprimer ne doit pas cependant être une excuse de refus de communication vers l’autre. La nécessité d’un apprentissage de la LSF y compris au Lycée ou Collèges pour les entendants doivent être offerts pour ceux qui le désir, mais ne peut pas être une obligation ! On ne peut en imposer à une société à une traduction en LSF sur des télévisions sous primauté qu’il a la préférence des intéressés, alors que d’autres moyens technologiques existent comme le sous-titrage. L’accessibilité doit rester un devoir pour chacun d’entre nous et pour les politiques à l’essence de 2015 ceci reste une évidence, mais doit se faire en parfaites harmonies avec le reste de nos concitoyens qui n’ont pas à devoir supporter les conséquences de celle-ci. Lorsque l’on interroge les organisateurs des différentes manifestations, on constate que chaque pays francophone travaille en direction de son territoire, sans se préoccuper de relations internationales, de coordination des actions, et même de lancer des initiatives communes. La JMS semble être, en Europe francophone, une juxtaposition de manifestations d’intérêt local. Au final cette journée ou semaine n’aura était à mon sens qu’une manifestation rassemblant les sourds et pour lequel la connaissance de l’autre reste encore très modeste pour bénéficier d’une véritable prise de conscience de la population française.

 

Surdité, Déficience Auditive… Quelles différences ?

La surdité est un état pathologique caractérisé par une perte partielle ou totale du sens de l’ouïe. Dans sa définition générale, ce terme renvoie le plus souvent à une abolition complète de l’audition. Dans le langage médical, la surdité est synonyme d’hypoacousie. Pour la perte complète de ce sens, on parle d’anacousie ou de cophose. Par surdité, on désigne la perte complète de la capacité auditive d’une ou des deux oreilles.

La surdité de transmission : Elle touche l’oreille externe et moyenne, c’est-à-dire le conduit auditif, le tympan et les osselets. La perte d’audition dans ce cas n’est jamais totale, elle peut-être récupérée (en totalité ou en partie) : grâce à des médicaments dans le cas d’une otite ou avec une opération chirurgicale dans le cas d’une otosclérose et d’une otospongiose. La surdité de transmission est caractérisée par une perte des sons graves. Cette perte ne pose pas trop de problèmes pour la compréhension de la parole, les sons étant perçus moins fort.Elle peut être due soit à des otites, un bouchon de cérumen, l’otosclérose (variété d’otite chronique) ou une otospongiose (calcification qui réduit la mobilité de l’étrier dans la fenêtre ovale)

La surdité de perception est la plus fréquente des surdités : elle touche l’oreille interne, c’est-à-dire au niveau de la cochlée. La surdité de perception ne peut pas être soignée avec des médicaments, mais elle est souvent efficacement corrigée par les appareils auditifs. Des causes diverses (rubéole, méningite, traumatisme) provoquent la destruction des cellules ciliées dans la cochlée. Cette surdité est caractérisée par une perte des sons aigus, ce qui pose un grand problème pour la compréhension de la parole, car ce sont ces sons aigus comme le « f », le « s » et encore le « ch » qui jouent un rôle essentiel. C’est ainsi qu’une personne atteinte de surdité de perception peut confondre le mot « boisson » avec le mot « poisson ». Si la surdité est profonde ou totale, la personne sourde pourra être aidée avec un implant cochléaire.

Les surdités totales d’origine héréditaire, congénitale ou néonatale surviennent dès la naissance ou les premiers mois de la vie. Elles sont donc beaucoup plus graves, car le jeune enfant, privé d’informations sonores, ne peut développer normalement son univers intellectuel et affectif et surtout son langage. Ces sujets étaient ceux qu’autrefois on appelait sourds-muets. Car, ne pouvant s’entendre, ils ne peuvent apprendre à parler correctement. C’est pourquoi, malgré les efforts des rééducateurs, ils n’émettent bien souvent que des sons difficilement compréhensibles pour les entendants.

 

Tableau de classification audiométrique :

Audition normale ou subnormale : La perte moyenne ne dépasse pas 20 dB. Il s’agit éventuellement d’une atteinte tonale légère sans incidence sociale. Surdité légère : La perte moyenne est comprise entre 21 dB et 40 dB. La parole est perçue à voix normale, elle est difficilement perçue à voix basse ou lointaine. Cependant la plupart des bruits familiaux sont perçus. Surdité moyenne : Premier degré : la perte moyenne est comprise entre 41 et 55 dB. Deuxième degré : la perte moyenne est comprise entre 56 et 70 dB. La parole est perçue si on élève la voix. Le sujet comprend mieux en regardant parler. Quelques bruits familiers sont encore perçus.

Surdité sévère : Premier degré : la perte moyenne est comprise entre 71 et 80 dB. Deuxième degré : la perte moyenne est comprise entre 81 et 90 dB. La parole est perçue à voix forte près de l’oreille. Seuls les bruits forts sont encore perçus. Surdité profonde :Premier degré : la perte moyenne est comprise entre 91 et 100 dB. Deuxième degré : la perte moyenne est comprise entre 101 et 110 dB. Troisième degré : la perte moyenne est comprise entre 111 et 119 dB. La parole n’est plus du tout perçue. Seuls les bruits très puissants sont perçus. Déficience auditive totale : La perte moyenne est de 120 dB. Rien n’est perçu

 

Quelques grandes dates de l’évolution de la surdité en France depuis 1948 ?

1939- 1945, Durant la Seconde Guerre mondiale, des milliers de sourds sont transférés puis exterminés dans des camps de concentration.1948, Naissance de l’Anpeda (Association nationale des parents d’enfants sourds) et du Bucodes (Association des devenus sourds). 1951, Naissance de la Fédération mondiale des Sourds. 1959, La loi Buron autorise les sourds à passer le permis de conduire. 1970, Première émission religieuse en Langue des signes retransmise à la télévision. 1973,Constitution de l’Unisda (Union nationale pour l’intégration sociale des déficients auditifs). 1975, Premier journal télévisé hebdomadaire sur Antenne 2 interprété en LSF. 1977, Levée de l’interdiction de la LSF dans l’enseignement par le ministère de la Santé. 1979, Naissance de l’Académie de la Langue des signes française (ALSF). 1980, Création de l’association 2LPE (Deux langues pour une éducation) pour la promotion de l’éducation bilingue. 1983, Première apparition du sous-titrage Antiope à la télévision. 1985, Lancement officiel du Minitel Dialogue, surnommé « le téléphone des sourds ». 1986, L’actrice sourde américaine, Marlee Matlin, obtient l’Oscar d’interprétation féminine pour son rôle dans le film Les enfants du silence de Randa Haines. 1988, Mobilisation générale des étudiants sourds de l’université de Gallaudet pour la nomination d’un président sourd. 1989,Bicentenaire de la mort de l’Abbé de l’Epée promoteur de la LSF. 1991, la loi dite Fabius autorise le choix d’un enseignement bilingue (LSF/français) pour les parents d’enfants sourds. 1993, Naissance de l’association Sourds en colère. 1994, Bicentenaire de l’Institut national des jeunes sourds (INJS) de Paris : exposition et festival de cinéma et la Naissance de l’association internationale des pilotes sourds (IDPA). 1995, Représentation au festival d’Avignon de la pièce Antigone, adaptée en LSF par Thierry Roisin et 1er débat politique interprété en LSF entre Jacques Chirac et Lionel Jospin à lors des Présidentielles. 1996, Manifestation nationale des sourds à Paris pour la reconnaissance officielle de la LSF. 1997, Lionel Jospin, Premier ministre, confie à la députée Dominique Gillot l’étude de la situation des sourds en France Ou la création de l’association Les Signes bleus pour les personnes atteintes de la maladie d’Usher (sourds et trouble visuel). 1998, remise par Dominique Gillot du rapport « 115 propositions pour le droit des Sourds ». Les débats de l’Assemblée nationale sont sous- titrés et interprétés en LSF. 1999, marche nationale pour la reconnaissance officielle de la LSF dans 8 villes de France. Création par l’ALSF de la soirée des Mains d’Or, un prix récompensant les personnalités sourdes et entendantes qui ont œuvré en faveur de la communauté sourde ou la mise en place d’une section Sourds de Paris au sein de la Fédération du parti socialiste. 2000,Premier congrès national des retraités sourds. Naissance du service Infofax Sourds. Inauguration de nouveaux services d’accueil en LSF par la S.N.C.F à la gare de l’Est ou par l’AP-HP à l’hôpital Debré. Lancement par Dominique Gillot, secrétaire d’État à la Santé et au Handicap, de plusieurs des mesures prioritaires de son rapport pour le droit des sourds, dont la création d’une dizaine de Centres d’information Surdité (CIS) et d’une dizaine de pôles et réseaux hospitaliers dans dix régions de France. 2001 Mise en en place du label tourisme et handicap fessant conscience du manque d’accueil des sourds dans ce secteur. 2003, Lancement des journées culture handicap de la Marseillaise en LSF. 2005, insertion de la protection et de l’intégration des sourds dans la loi sur l’égalité des chances. Le Comité Consultatif National d’Éthique, conteste la généralisation du dépistage néonatal de la surdité. 2007, Le pape Benoît XVI a s’interroge sur la question de faire entendre les sourds et parler les muets. Le dépistage néonatal de la surdité n’est pas réalisé dans des conditions éthiques permettant de le généraliser. 2008, accordent des distributeurs de téléphonie mobile pour un accès aux sourds. 3es éditions « les sourds dans la ville de Marc Renard. Conférence nationale du Handicap dans lequel un bilan sur la surdité et annoncé. Les sourds sont-ils les bienvenus en entreprise ? Conférence organisée par le INJS. 2009, un médecin du travail interdit à six salariés sourds de conduire à titre professionnel. Présentation du plan auditif en décembre par Nadine Morano et l’installation d’une « plate-forme d’appels d’urgence » pour les malentendants installée pour en 2010.

 

Historisque d’une Journée Mondial et de la surdité dans le monde

La Fédération Mondiale des Sourds (FMS) (World Federation of the Deaf ) a été la première à lancer la journée mondiale des sourds en 1958 ; la « Journée » a été modifiée plus tard en » Semaine » et officialisée par l’Organisation des Nations Unies (0.N.U.) depuis 1959. Le choix de cette date provenant de l’organisation du FMS 1er congrès qui avait eu lieu en septembre 1951. l’Organisation du FMS présidé par Markku Jokinen et aujourd’hui reconnu comme association internationale non gouvernementale par l’ONU représentative des sourds pour 127 pays. Celle a pour mission de promouvoir les droits humains de la communauté sourde : Droit à la langue des signes, à l’éducation, à l’information, à la santé, ci-joint charte des droits du Sourd. Le siége et lui établis à Rome, l’Italie, depuis 1951.

 

Selon le FMS, le but de la semaine mondiale des sourds est d’attirer l’attention des grands publics sur la reconnaissance officielle de la langue des signes française (L.S.F.) qui est progressivement diffusée dans le public en France et ainsi montrer la dignité de la population malentendante et sourde et des autorités et du public sur les problèmes et les soucis de la communauté sourde. Pendant cette semaine, les associations sourdes du monde entier sont encouragées à diffuser l’information à propos de leur rôle, de leur travail et à répondre aux demandes.Ci-joint la Charte des Droits du Sourd réalisé en 1998. Le prochain congrès de la Fédération Mondiale des Sourds (FMS, ou WFD, World Federation of Deaf) aura lieu du 14 au 24 juillet 2011 à Durban, en Afrique du Sud.

Quelques Associations Nationale ou locale

TOLOSA 31 – 116 bis, rue des Amidonniers 31 000 TOULOUSE Fax 05 62 17 55 92 — APES – 14, chemin du Pouciquot – 31 520 RAMONVILLE — AMDS – B.P. 29 – 31 170 TOURNEFEUILLE — IRIS – 10, avenue Georges Guynemer- 31 770 — Fédération National des Sourd de France FNSF Tél :01 40 30 18 36— Académie de la Langue des Signes Française – 3 rue Léon Giraud – 75019 Paris – Tél :01 40 51 10 80 — Femmes Sourdes Citoyennes et Solidaires 163 rue de Charenton 75012 Paris e.mail Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. — Cercle des Sourds de Nancy-Lorraine 2, rue Piroux 54140 JARVILLE-LA-MALGRANGE Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. — A.G.S.M.R 45 rue Frédéric Bazille 34000 MONTPELLIER Tél : 04.67.65.62.40 — L’Association des Sourds Juifs de France Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Stéphane Lagoutière
Dr. Christine Harris Expert en Médecine légale

Catégorie : REPORTAGE
Publication : 27 September 2009

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