La semaine dernière, le gouvernement du Canada a commencé des consultations publiques à Whitehorse, à Iqaluit et à Yellowknife dans le cadre du processus de consultation visant à orienter la loi prévue sur l'accessibilité. Des consultations qui doivent se poursuivre jusqu’en février 2017. La ministre des Sports et des Personnes handicapées, Carla QUALTROUGH, qui dirige les consultations sur les obstacles auxquelles font face les Canadiens dans leur vie quotidienne, a souhaité pouvoir discuter avec eux de ce que le gouvernement peut faire pour aborder ces questions.
C'est sous le thème « Choisir la différence pour embaucher autrement - Une valeur ajoutée pour l'entreprise », que le SDEM SEMO Montérégie au Canada, un organisme offrant un service d'aide et de placement en entreprise pour personnes handicapées, a remis ces prix aux employeurs qui embauchent des personnes handicapées. Une soirée ou plus de 100 de personne, dont une cinquantaine d'employeurs, été présent pour cet évènement au Centre socioculturel de Brossard pour sa 2e édition dans le cadre de la semaine des personnes handicapées.
La ministre déléguée à la Réadaptation, à la Protection de la jeunesse, à la Santé publique et aux saines habitudes de vie Canadienne Lucie CHARLEBOIS, a annoncé dans un communiqué, des mesures supplémentaires aux enfants gravement malades et ayant des incapacités importantes. Une décision qui fait suite a la réunion d’un comité interministériel sur le sujet il y a quelques semaines. Une annoncé saluer par l’Office des personnes handicapées du Québec et sa directrice, Anne HÉBERT, qui à participé à la recherche de cette solution comme membre du Comité interministériel.
Lors d’une conférence la Canadian Vision Teacher Conference intitulée « Seeing Beyond the Horizon », qui c’est tenu aujourd’hui la ministre des Sports et des Personnes handicapées Carla QUALTROUGH, a souligné que les mesures de soutien aux Canadiens ayant une déficience visuelle sont fondamentales pour créer une société inclusive. Une conférence qui avait lieu dans le cadre du mois de la santé visuelle organisé par l'INCA.
Le gouvernement Québécois semble ne semblerait pas forcement vouloir tenir ou oublier ces promesses d'engagement social envers les personnes handicapées. Selon la présidente de l'Alliance nationale des Associations démocratiques des ressources à l'adulte du Québec, Diane MÉNARD. Se sont ainsi au moins 22 personnes lourdement handicapées, qui sont sous la responsabilité d'un établissement de la région métropolitaine, sont touchées et qui aurait vu leurs revenus alloués supprimés.
La loi sur l'aide médicale à mourir entre en vigueur depuis hier 10 décembre au Québec, première province canadienne à proposer d'encadrer strictement l'assistance pour des personnes atteintes d'une maladie incurable et voulant abréger leurs souffrances. Une décision aussi importante « appartient exclusivement aux patients qui décident de prendre ou non cette direction », a déclaré mercredi le ministre de la Santé du Québec, Gaétan BARRETTE, lors d'une conférence de presse.
« L'aide médicale à mourir » sera strictement balisée et restera réservée à des cas de souffrances exceptionnelles de patients atteints de maladies incurables, selon le texte législatif. Il revient aux médecins d'estimer que la douleur du malade est telle qu'elle ne peut être soulagée par des médicaments.
Cependant, « seul le patient peut le demander et le patient ne peut l'obtenir que quand le médecin a l'assurance du côté absolument irréversible de la fin de la vie du patient ou de la patiente », a expliqué Gaétan BARRETTE. Il est « primordial qu'il n'y ait aucune influence extérieure » sur cette décision du malade, a poursuivi le ministre québécois de la Santé en soulignant toutefois que « la priorité de cette loi demeure l'accès aux soins palliatifs ».
Une loi, qui est le fruit d'un très long débat de société au Québec, avait été adoptée en juin 2014 par 94 députés contre 22 lors d'un vote à l'Assemblée législative de la province.
Une décision favorisée par la Cour suprême du Canada qui avait autorisé en février l'aide médicale à mourir pour les adultes consentants atteints de problèmes de santé graves et irrémédiables en déclarant inconstitutionnels les articles du Code criminel interdisant « le suicide assisté et l'euthanasie ».
Elle avait alors donné un délai d'un an au gouvernement fédéral pour se conformer à cette décision, mais la semaine dernière, le nouveau gouvernement de Justin TRUDEAU, a demandé un sursis supplémentaire de six mois, invoquant le retard pris dans ce dossier en raison notamment de la campagne électorale.
Un certain nombre de pays européens autorisent le suicide médicalement assisté, dont les Pays-Bas, la Belgique, le Luxembourg ou la Suisse, ainsi que des États américains comme celui de Washington ou de l'Oregon. La France elle poursuit son débat de société avec les dossiers par sociétale comme le cas de Vincent LAMBERT.
Comme de nombreux pays, le Canada manque de dons d'organes. À l'heure actuelle, plus de 3,34 millions de personnes en Ontario sont inscrites au don d'organes et de tissus. Un chiffre important mais malheureusement pas suffisant. Cinquante médecins spécialistes en milieu hospitalier ont ainsi décidé de soutenir le programme de dons d'organes et de tissus dans certains hôpitaux ontariens en prenant pour exemple des réseaux ayant un succès à l'échelle internationale. Des Ontariens invité a se mobilisé également en s'inscrivant sur place ou directement sur le site