La saison des combats de l'été est à son point culminant, et les civils paient le plus lourd tribut, soit directement, comme victimes de la violence, soit indirectement, peinant à obtenir des soins de santé. Une insécurité quasi permanente qui prive une grande partie de la population afghane d'accès aux structures de santé. Une présence du CICR nécessaire comme à terminer le 15 juin programme de formation pour des personnes en situation de handicap.