Quand elle commence l’équitation à 8 ans, à 18 ans elle découvre l’équitation Western, une révélation pour cette jeune femme. Une discipline qui lui ouvrira les portes de la compétition où la cavalière, douée, remportera deux titres de Championne de France. Passionnée, Cloé MISLIN, cherchera même à en faire son métier. Pour cela, elle part au Canada à 20 ans passer son diplôme d’instructeur et monte, à son retour, une structure orientée loisirs avec ses parents. En 2005, les premiers symptômes apparaissent, en 2009 le diagnostic est posé, Cloé est atteinte d’un parkinson juvénile. Une maladie qui ne lui permet plus de pratiquer le Western comme elle l’entend avec ses objectifs de haut niveau. Elle découvre alors le para-dressage, une discipline adaptée à son handicap et ses désirs de compétition. Elle est membre du Groupe 1 de la FFE et vise une nouvelle sélection en équipe de France pour les championnats d’Europe de Rotterdam en Août prochain.
Alors que la France entière est quasiment confiné pour la deuxième cette année, le skipper handisport Damien SEGUIN du monocoque 60' Groupe APICIL, se prépare au départ de la course dont le top départ aura lieu dimanche prochain a 13h02. Un départ plus intime mais ou « les grandes émotions seront là ». En attendant, le jour J, le triple médaillé paralympique s'est confiné en compagnie de sa femme, de son préparateur mental et physique et d'un ami. A deux jours du départ, Damien confie commencer à ressentir la pression, mais poursuit sa préparation sereinement.
Elle est âgée de 28 ans et s’appelle Floriane VINTRAS, elle exerce aujourd’hui le poste de responsable de communication au sein Wandercraft, a la pointe de la nouvelle technologie celle de la Robotique et des exosquelettes à destination pour les personnes en situation de handicap. Une femme au parcours atypique, avec une volonté, et une passion celle de « porter des projets porter utile pour la société au sein de mon entreprise ». Elle exprime après un parcours scolaire où le manque d’accessibilité des infrastructures a été un réel handicap pour elle poursuit ces études en alternance dans des écoles privées telles que Sup de Com ou encore Digital campus. Une réussite d’une inclusion professionnelle encore trop rare dans les métiers de la communication, de la presse ou des médias où les embauches représentent moins de 2 % des travailleurs handicapés…
Henri LANIRAY est asémiste depuis ses 12 ans. Aujourd'hui à la retraite, il est président de la section Handisport & Sport Adapté. Au sein du club jaune et bleu, il œuvre pour que tous aient accès à la pratique sportive. Il souhaite avant tout transmettre et participer au décloisonnement de l’handisport sur le territoire auvergnat. S'il aime s'investir dans l'organisation d'événements sportifs ce qu'il préfère ce sont ces fabuleux moments de vie partagés avec les athlètes, en particulier, et les asémistes en général !
Un peu plus d’une semaine après la présentation de son rapport annuel, pour lequel les discriminations liées aux handicaps sont désormais en tête, le Défenseur Jacques TOUBON revient dans cette longue interview et exprime ces souhaits pour une société qui ne doit « jamais détourner le regard ». L’occasion aussi de revenir sur son interpellation par deux députés de la LREM sur la loi Asile-Immigration, pour lui cette position « n’est ni caricaturale ni idéaliste ». Abordant dans cette interview également les questions de l’emploi, de la santé, de l’éducation et la vie quotidienne des personnes en situation de handicap, mais aussi la baisse de son budget face une progression de + 7.8 % des dossiers…
Rencontre aujourd’hui avec Jean-Dominique JOURNET, Président de la Fédération Nationale des Aphasiques de France (FNAF). Une association gérée par aphasiques eux-mêmes.et fondée en 1985. Son président Jean-Dominique JOURNET revient lors de cette interview sur les raisons de l’Asphasie souvent confondue avec un trouble psychique ni un handicap mental. Son président qui revient aussi sur l’objectif de cette formation, véritable combat de l’association et dont l'initiative soutenue par la Fédération française des télécoms avec une inscription possible dès maintenant pour septembre 2019 ! l’aphasie dont le prochain grand rendez-vous aura lieu 5 au dimanche 8 septembre 2019 à CHORGES a l’occasion du 23eme congrès National de la FNAF mais aussi en octobre avec la semaine nationale de l’Aphasies.
Dans le cadre de la journée européenne nous avons interrogé Jihane SAYADI-HERBIERE vivant dans le Val d’Oise en Ile de France et mère d’une petite fille de quatre ans. Atteinte d’une Myasthénie Auto-Immune elle apprend sa maladie trois mois après son accouchement en pleine pandémie du Covid 19. Jihane qui attend de cette journée européenne qu'elle puisse avoir un effet bénéfique, non seulement pour les malades et leurs proches généraliste encore trop souvent méconnue. Une maladie qui concerne en France plus de 5000 personnes.
À l’occasion de l’annonce du Xbox Adaptive Controller, la première manette modulable conçue pour les joueurs à mobilité réduite, l’équipe du Xbox Wire a recueilli les impressions de David COMBARIEU, fondateur de intervie. Un expert qui travaille au contact des joueurs en situation de handicap pour développer des manettes qui leur sont adaptées, nous livre ses pensées sur le nouveau dispositif de Microsoft et comment celui-ci va simplifier la vie des joueurs handicapés. Et dont Microsoft vient de révolutionner le milieu avec la sortie de la Xbox Adaptive Controller, fin 2018 d’une nouvelle manette adapté.
A l’occasion Journée mondiale de la sclérose en plaques (SEP) et des différentes manifestations prévues en France notamment à Paris, Strasbourg : le 22 mai ou à Toulouse : le 25 mai 2019. Le Professeur Jean Pelletier, Chef du Service Neurologie et Unité NeuroVasculaire à l'AP HM revient avec nous sur les principales avancées du programme DHUNE concernant la maladie. Une maladie qui touche en France près du jeune adulte, la SEP est souvent diagnostiquée entre 25 et 35 ans et une prépondérance féminine (3/4 de femme). La SEP touche aujourd’hui 100 000 personnes en France, dont 700 enfants. Deux mille cinq cents nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. La SEP représente la première cause de handicap sévère non traumatique du jeune adulte. Elle affecte donc des adultes jeunes en pleine période de projet d’existence et bouleverse la vie personnelle, familiale et professionnelle.
A partir d’aujourd’hui et jusqu’au 25 novembre prochain aura lieu la 22e édition de la Semaine pour l'emploi des personnes handicapées, devenue européenne en 2015. Avec cette année une mise en avant particulière sur la double discrimination celle d’être une femme et d’être en situation de handicap. Une situation qui aura pour égérie Lucie amputé a l’âge de 15 ans. Une édition pour laquelle l’ADAPT a associé cette année l’association Femmes pour le dire, femmes pour agir, qui milite en faveur des droits et du respect femmes en situation de handicap dans une campagne #TousCitoyennes pour sensibiliser le monde du travail à cet enjeu.
À l’occasion de la semaine pour l’emploi (19 au 25 novembre), F.H.I. est allé à la rencontre de trois personnes handicapées pour aborder le sujet de leurs difficultés d’embauche. En effet, dans un univers professionnel tourné vers la productivité et la rentabilité, l’uniformité créée des postes standards figés, avec des transformations qu’on imagine impossibles ou coûteuses. Dès lors, la différence n’est plus un atout ou un enrichissement, mais elle devient au contraire un vecteur de discrimination et d’exclusion.Après un entretien avec Stéphanie Mérigoux, déficiente visuelle, nous sommes allés à la rencontre de Magalie DUAUT RAVELEAU, déficiente auditive, que rien n’empêche de faire entendre sa volonté d'inclusion professionnelle...
À l’occasion de la semaine pour l’emploi (19 au 25 novembre), F.H.I. est allé à la rencontre de trois personnes handicapées pour aborder le sujet de leurs difficultés d’embauche. En effet, dans un univers professionnel tourné vers la productivité et la rentabilité, l’uniformité créé des postes standards figés, transformations qu’on imagine impossible ou coûteuses. Dès lors, la différence n’est plus un atout ou un enrichissement, mais elle devient au contraire un vecteur de discrimination et d’exclusion. Nous avons interviewé Maxime COUVREUR, en situation de handicap moteur, après avoir interrogé Stéphanie MERIGOUX, déficiente visuelle et Magalie DUAUT RAVELEAU, déficiente auditive.
Découvrez l'histoire de Natacha touchée par un grave accident vasculaire cérébral (AVC) à l'âge de 21 ans. Après un douloureux parcours de onze ans, elle revient aujourd’hui enfin apaisée et souhaite partager son histoire afin que tous puissent mieux comprendre et aborder les conséquences d’un AVC. Si celui-ci ne représente moins de 1 % chez les jeunes de moins de 35 ans les drogues sont l’un des facteurs de risque qui progresse, et les femmes sont aujourd’hui plus concernées par les AVC que les hommes. Retour sur un parcours rempli d’émotion.
Il est âgé de 38 ans, certains pourraient le plaindre, en avoir peur et pourtant Philippe AUBERT, infirme moteur cérébral lui n’a que seule chose en tête vouloir vivre, et même la « rage d’exister » titre de son récent livre ainsi que de l'association qu'il a créee. Un homme qui au-delà de son handicap et de « sa différence », qui l’empêche de faire quoi que ce soit seul pour lequel il a désormais le soutien de son traducteur Jackson SINTINA, aura réussi par force et volonté a l'obtention d'un master 2 de sociologie à l'université de Nanterre. Philippe AUBERT qui nous transmet cette volonté à l’occasion de la première Nuit du Handicap le 9 juin prochain dont il est le porte-parole…et avec beaucoup d’autres l’image que le handicap n’est pas une fin en soi…mais le moyen pour nous tous de découvrir l’autre dans sa diversité.
À l’occasion de la semaine pour l’emploi (19 au 25 novembre), F.H.I. est allé à la rencontre de trois personnes handicapées pour aborder le sujet de leurs difficultés d’embauche. En effet, dans un univers professionnel tourné vers la productivité et la rentabilité, l’uniformité créée des postes standards figés, avec des transformations qu’on imagine impossibles ou coûteuses. Dès lors, la différence n’est plus un atout ou un enrichissement, mais elle devient au contraire un vecteur de discrimination et d’exclusion.La première personne à avoir été interviewée StéphanIe MÉRIGOUX, est déficiente visuelle, voici ce qu’elle nous révèle de sa situation professionnelle.